Etage n°4
Datte: 22/12/2017,
Catégories:
fh,
couple,
parking,
ascenseur,
Oral
pénétratio,
tutu,
totalsexe,
Je me dirige vers notre appartement. Je remonte un peu plus haut mon écharpe et m’y enfonce encore un peu plus. Tu es un peu plus loin, tu marches sur le parking. Tu ne te doutes pas que je suis derrière toi. J’accélère le pas. J’arrive à ta hauteur et me saisis de ta main. Tu te retournes, me souris et tu m’embrasses sur le bas de mon front. C’est la seule partie de mon visage qui n’est pas recouverte de tissu. On est en décembre et Bon Dieu, qu’est-ce qu’il fait froid dans ce pays ! Arrivée dans le hall bien chaud de l’immeuble, je me détends un peu : je relâche mes épaules, enlève mes gants que je fourre dans ma poche, descends mon écharpe à ma nuque. Je peux enfin t’embrasser. Tu appelles l’ascenseur, t’appuies contre la rambarde des escaliers qui mènent aux sous-sols et me prends dans tes bras. Tu es un peu plus grand que moi ; tu me dépasses d’une bonne tête. On rentre dans l’ascenseur, tu appuies sur l’étage n°4. Je déboutonne ta veste, plonge mes mains sous ton pull à la recherche de chaleur. Tu embrasses ma nuque, caresses ma joue, prends ma tête dans une de tes mains. Je ferme les yeux, j’apprécie. Je ferme ma main sur ta peau, je commence à te malaxer le dos, puis je te dirige encore plus près de moi. Je lèche ta lèvre supérieure, mords celle d’en dessous. Puis je dévie sur ta nuque via des baisers et des morsures délicates, je lèche le lobe de ton oreille. J’entends ton souffle s’accélérer. L’ascenseur est arrivé à destination. Je resserre mon étreinte, je ne ...
... veux pas te laisser partir. C’est par ce geste que je sens ton envie qui exerce une légère pression contre mon bassin. Tu te dégages de mon étreinte, mais au lieu de sortir rejoindre notre appartement, tu me plaques le dos contre cette paroi d’ascenseur. Je souris, je te dévore des yeux. Tu caresses mon sexe à travers le tissu. On s’embrasse à pleines langues. Je commence à onduler du bassin, j’ai envie de toi. Je prends l’initiative de déboutonner ton pantalon avec mes deux mains. Toi, tu me maintiens toujours contre cette paroi métallisée, je sens tout ton poids contre moi. Tu me relèves le menton pour mieux m’embrasser. Nos respirations s’accélèrent. C’est à tâtons que j’arrive à déboutonner les trois boutons de ton jeans, j’en profite pour te caresser enfin. Tu recules, baisses mon pantalon jusqu’au genou d’un grand mouvement sec. Tu contemples mon tanga qui est déjà bien humide par ta présence. Tu te rapproches à nouveau. Je plonge ma main dans ton boxer pour saisir ta queue chaude que je branle doucement. Tu baisses mon dernier rempart de tissu. Je dirige ta queue vers ma fente déjà bien humide par l’excitation que tu me procures et par ce lieu incongru. Mais tu arrêtes mon geste pour me plaquer face à la paroi. Je râle et je tends mes fesses vers toi. Je n’ai plus envie d’attendre. Sans même me doigter au préalable, tu t’enfonces en douceur, mais rapidement. Tu sais qu’on a peu de temps. Tu commences des va-et-vient profonds et lents. Je me courbe un peu plus pour exercer ...