1. J'ai testé Rêvebébé : Le métro


    Datte: 04/07/2017, Catégories: fh, inconnu, essayage, train, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast,

    ... moins de cinquante euros, je décide de la prendre. Je mets mes affaires sur mon bras et sors de la cabine. En passant devant mes observateurs je leur adresse un petit sourire, auquel l’un d’eux me répond par unBonne journée !et l’autre par un clin d’œil. Je prends cela comme une réussite, ce qui m’encourage pour la suite de mon expérience. Il est 17 heures, bientôt la sortie des bureaux et la cohue dans le métro. Dans la rue j’accroche cette fois un peu plus de regards, le bas de ma robe danse au rythme de mes pas et je remarque que les hommes qui me croisent ont les yeux dans mon décolleté. Je n’avais jamais prêté grande attention à ce détail, mais aujourd’hui c’est différent, c’est le but et cela me réjouit de sentir tous ces regards sur moi. 17 heures 30, je descends dans le métro et m’avance au milieu du quai. Il n’y a pas encore beaucoup de monde. J’espère qu’en cette période proche des vacances les gens n’auront pas déjà déserté leur travail. Je marche un peu, un panneau publicitaire mural vide me renvoie mon image, tel un miroir sale. Je me tourne légèrement pour m’observer dans cette nouvelle robe. Ouais, bof, joli, voire affriolant, mais pas très sexy et encore moins provocant. D’une main, je fais sauter le second bouton du haut. Hou là ! sa libération fait largement bailler le pan droit du haut de la robe. De face il ne permet qu’une vue un peu plus basse sur ma poitrine, mais de côté on distingue sans difficulté l’aréole et le téton de mon sein. Immédiatement ...
    ... je trouve que c’est trop, mais au moment de remettre le bouton, je me dis qu’après tout je suis là pour attirer, provoquer, aguicher, alors… je laisse le bouton libéré. Je me retourne pour reprendre la petite marche de la passagère patiente. Oups ! Je manque de rentrer dans un homme venu se placer à deux pas de moi. Je ne l’avais pas vu venir. Il me sourit. — Vous avez raison, c’est beaucoup mieux comme ça. Surprise et gênée, je reste un instant hésitante puis je me retourne promptement et m’éloigne un peu. Une rame arrive. Il n’y a pas assez de monde à l’intérieur pour mon expérience, je la laisse repartir. En tournant la tête, je m’aperçois que l’homme est toujours là. Ah, ai-je déjà ferré un poisson ? Quelques minutes passent et suffisent à encombrer le quai. Dans la rame suivante, c’est l’affluence. Je m’approche afin d’être l’une des premières à monter dans le wagon pour me retrouver au milieu de la foule. Encore une fois ma stratégie fonctionne. Je suis plaquée à un arceau de maintien sur lequel se posent six ou sept mains, dont la mienne. Mon autre main se charge quant à elle de maintenir sur mon épaule le sac que la vendeuse m’a gentiment offert afin que j’y range mon jean et mon chemisier, et dans lequel j’ai également mis mon sac à main. Je suis entourée de deux femmes et de plusieurs hommes dont le regard est dans mon décolleté dès le départ de la rame. Ils semblent déjà s’y être perdus, car ils n’en ressortent pas. Le mouvement de foule à la station suivante me ...
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