1. Damien I


    Datte: 04/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Lui aussi regarde le spectacle au-dessus de mon épaules et il pousse au rythme des coups de rein que Khaled est en train de donner. Comme ils me l’avaient dit, ils aiment bien enfiler. Et ce verbe était parfait. J’étais en train de me faire enfiler en regardant ma petite amie se faire enfiler aussi. Elle par devant et moi par derrière. Elle en prenant son pied et moi en souffrant. Mourad poussait sans relâche et son gland allait de plus en plus profond. La douleur ne me quittait plus mais elle était supportable. Mon trou avait appris à s’ouvrir et était maintenant bien souple. Malgré cela, j’ai cru qu’il n’allait jamais finir d’entrer dans mes entrailles que je sentais s’ouvrir sous la pression du gland circoncis. J’avais les larmes aux yeux et mal aux mâchoires à force de serrer le bout de tissu dans ma bouche. Il a poussé une dernière fois et j’ai enfin senti les poils de son pubis contre mes fesses. J’ai plaqué mes mains contre le mur et mes fesses se sont refermées sur le mandrin du jeune arabe bien vrillé au fonds de mon cul tendu. De l’autre côté du grillage, Khaled donne de longs coups de ventre contre mon amie. Il l’a tenait par la taille et la tirait vers lui avant de la repousser. Je voyais les seins pourtant fermes ballotter au rythme des coups de bitte qu’elle reçoit. Elle a du mal à tenir la pose et ses petits cris envahissent la pièce silencieuse. La queue de l’arabe s’active dans la chatte béante. Je sais que quand elle est excitée, mon amie mouille beaucoup. ...
    ... La grosse bitte ne doit avoir aucun mal à coulisser de plus en plus vite dans le fourreau de chair. Elle se laisse niquer comme ils disent. C’est le deuxième mot qu’ils m’ont appris. Ils sont en train de nous niquer tout les deux. Une queue dans la chatte de mon amie et l’autre dans mon fion. Ils m’avaient aussi dit que les français, ils aiment bien les gros zobs des arabes. Ce mot là, je le connaissais déjà. Le gros zob de Mourad a commencé à coulisser dans mon intimité. La douleur s’est vite calmée. Je me suis laissé sodomiser en regardant ma petite amie se faire baiser. Je sentais que mon anus se moulait à la taille du sexe qui s'enfonçait de plus en plus vite et je savais que mon amie devait dégouliner sous les coups de boutoirs de Khaled. En l’espace de trois semaines qui s'annonçaient de rêve, tout avait basculé et nous étions devenus les jouets plus ou moins consentants de ses deux étudiants arabes plus jeunes que nous. J’avais envie de pisser et de chier. La queue dans mon fion devenait de plus en plus active. Les coups de reins de plus en plus violents. Mourad rajoutait de temps en temps de la salive. Tout se passe dans un silence absolu. A peine le bruit de nos respirations, et les petits cris de plaisir de mon amie. La pénombre rendait la scène presque irréelle. Mon anus est maintenant complètement dilaté. Je sens mon sexe recroquevillé battre entre mes jambes au rythme de l’enculade. Je serre les poings en mordant le chiffon dans ma bouche. De l’autre côté, Khaled ...
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