Un homme peut en cacher deux autres - Histoires de Sexe

Un homme peut en cacher deux autres

... boules, mais non… J’accélérais, et lui, la tête en l’air, les yeux fermés, il ne bougeait pas. J’ai eu de la chance que personne ne soit venu au même moment ! Je le sentais venir. « Vas-y ! » qu’il me disait. Je ne pouvais pas faire ma salope non plus, je n’étais pas son mec ; c’était juste une expérience. Mais en ayant sa queue en bouche, en lui donnant du plaisir, j’ai eu aussi une petite pulsation de sang dans mon sexe. Juste avant qu’il jouisse, je l’ai retiré de ma bouche et l’ai branlé jusqu’à ce qu’il jouisse, et ses jets ont atterri par terre et sur ma main. La soirée s’est finie sans trop de paroles, et il m’a proposé qu’on se revoie. Je sais que si c’est le cas, il va me reproposer de le sucer, ou même de passer à l’étape suivante. Je ne sais pas quoi penser. Deux semaines que je me pose plein de questions. Même si j’ai aimé le sucer, l’étape au-dessus, c’est autre chose. Le rendez-vous est demain ; je vais y aller, je verrai. Que penserait ma femme de tout ça ? Vaudrait mieux pas que je lui dise… 8 Mars Deux jours ont passé depuis que j’ai eu ma première relation avec un homme. J’y pense beaucoup. Pas au fait que « oh là là, j’adore ça, il faut que je recommence ». Non, que c’était plutôt une bonne expérience, qu’il fallait au moins que je teste. Même si j’ai bien aimé, c’est vrai. Si l’occasion revenait, je ne sais pas ce que je dirais, même si c’est mal envers ma femme. Je revois Joris dans quelques jours ; je verrai ce qu’il me proposera. 12 Mars Journal, je ne ...

... sais plus… Je ne sais plus rien. Hier, je suis allé chez Joris, et rien ne s’est passé comme prévu. J’espère que tout ce que je te dis, ou enfin écris, tu ne le révéleras à personne. Oui, c’est bête : tout le monde peut lire, mais je dois le sortir de moi. Je dois sortir de moi tout ce que j’ai vécu, et je ne peux en parler à personne… Juste après le boulot j’ai été chez lui, il m’a proposé à boire et tout. J’ai pris un verre de son alcool le plus fort. « Tu sais, j’ai vraiment aimé il y a deux jours, je t’assure ! » m’a dit Joris en mettant une main sur ma cuisse. Je ne savais pas quoi lui répondre, et je lui ai dis la vérité : que moi aussi, mais je ne savais pas si j’allais recommencer. — Tu es sûr ?— Bah, tu sais, je suis pas homo ; ce n’était qu’un pari, et puis déjà que j’ai rien dit à ma femme…— Pas besoin de lui dire. Mais tu aimerais peut-être la suite.— Jamais rien n’est entré par là, et puis… je sais pas. Si j’aime pas ?— Là, ce n’est pas un pari : si tu veux arrêter, tu peux le faire à tout moment. Il approchait peu à peu sa main de mon entrejambe, et… et ça me faisait bander d’imaginer la suite ! Je me suis levé ; il a mis sa main sur mon sexe et a massé doucement. Je ne bougeais plus. Il a ouvert ma braguette et sorti mon sexe à moitié dur. Il m’a branlé un peu, et après un sourire a mis ma queue en bouche. Je stressais ; je pense que chaque hétéro serait dans le même état que moi dans cette situation. Mais il suçait bien. Ma queue grossissait peu à peu dans sa ...