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Sacrée Myriam
Datte: 23/12/2017, Catégories: Partouze / Groupe
... belles et désirables, tout simplement ! » « … et tu me mettrais dans cette catégorie ? » Son sourire devient presque lubrique et sa réponse me transperce. « … Je te la mettrais bien, tout court, Mymy ! » Il me prend alors dans ses bras et cette fois, ma culotte est une trempée. Il se penche et m’embrasse à pleine bouche. Je me laisse aller et lui rend son baiser et lui offre ma langue à dévorer. Il mange ma bouche, mord mes lèvres épaisses, une de ses mains glisse dans mon dos et me procure des frissons, je mouille encore un peu plus quand elle empoigne ma fesse légèrement décollée de mon siège. A travers mon jeans il me pelote le cul divinement bien. A cet instant, en lui rendant ses baisers de plus en plus fougueux, je devrais penser à ma jeune sœur que je cocufie et je devrais m’en vouloir à mort. Au lieu de cela, je suis au bord de l’extase, je me délecte de ses attouchements et je pense à ma fille qui tuerait pour être à ma place. Sa deuxième main est maintenant remontée sous mon pull et il touche mes tétons à travers le satin de mon soutien-gorge. Je suis en transe, je n’en peux plus, j’halète comme une chienne quand sa bouche laisse un répit à la mienne. Il se montre encore plus audacieux et sa main pétrissant mon cul se glisse maintenant entre le haut de mon jeans et ma peau. Ce sont ses doigts que je sens dans le sillon de mes fesses. Je n’y tiens plus. Je prends les devants et me décolle de lui. Il me regarde avec une certaine peur que je décide d’en rester là. ...
... Aucune crainte. Je lui souffle en m’efforçant de ne pas crier tellement je suis proche de l’extase : « Je trop envie que tu me sautes… » « On va aux chiottes et je te démonte ma jolie ! » La plupart des autres passagers qui patientent avec nous n’ont pas perdu une miette de notre effusion et je vois du vice et de l’envie dans les yeux des hommes et de certaines femmes qui me regardent marcher hâtivement vers les toilettes en tenant la main de mon futur étalon. Horreur, les toilettes femmes sont en cours d’entretien et il y a trop de monde dans les toilettes hommes. Nous n’avons plus assez de temps pour trouver un autre endroit avant l’embarquement. Nous allons donc passer huit heures côte à côte en avion en débordant d’un désir charnel inassouvi l’un pour l’autre. Comme c’est un vol de nuit, nous aurons peut-être l’opportunité de passer à l’acte mais rien n’est moins sûr. En montant dans l’avion, je le sens, pressant derrière moi, ses mains empoignent mon cul dès qu’il en a l’occasion. Sa bouche prend la mienne dès que je me retourne. Je ne cesse de l’aguicher, de me pencher en avant pour lui tendre ma croupe de femelle en chaleur. Nous sommes un couple en rut et nous nous installons. Par chance nous sommes sur une rangée du bord, de trois sièges et il n’y a personne sur le troisième siège qui était réservé à ma sœur initialement. Nous recommençons à nous peloter et nous embrasser de plus belle. Je lui murmure : « Dès que tout le monde est endormi, je me planque la tête sous une ...