COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Jacques et la boîte d’oeufs (8/13)
Datte: 05/07/2017,
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Dans la zone rouge,
... lapinou d’amour est sorti de dessous la cage, il semble vouloir assister au massacre de sa famille. • Regarde ce petit con, tu es contente de toi, il va falloir que je le rattrape. En attendant ouvre la cage du bas où il y a ce gros mâle, c’est un des deux vendable cette semaine. Après, on dépècera cette femelle dans la deuxième cage, elle m’a fait plusieurs portés de petits lapins, elle a mis assez bas. As-tu déjà estourbi des lapins ? • Estourbi ? • Je vois encore une Parisienne, je te fais voir pour le gros mâle, tu t’occuperas de la femelle. Assassin, mon Maître est un assassin, tuer des animaux, j’ai mal au cœur, surtout quand il attrape le gros lapinou dans sa cage par les pattes arrière. Il le fait pendre la tête vers le bas et ayant récupéré un rondin de bois sur la table à côté du couteau, il lui en assène un grand coup. • Maître, je vous aime, mais il m’est impossible d’en voir plus, je vais vomir. • Petite nature va charger les œufs et les cagots de légumes que j’ai préparés hier au soir alors que madame se pavanait dans sa cage. Maître Albert serait-il ingrat ? Je lui abandonne toute ma vie, prête à rester, allant même me faire tatouer par Lola la lettre et les chiffres A13 dans le cou. Il semble ne pas vouloir comprendre que tuer des lapinous n’est pas un objectif dans ma vie. • C’est fait Maître, à part les deux lapinous, tout est dans la camionnette. Les deux pauvres bêtes sont sur la table dans un cagot, Maître Albert les porte dans la camionnette, ...
... m’évitant de les mettre au sol, en voyant la tête, un œil enlevé, et surtout les dents de ces pauvres bêtes dépecées. • Attention à ces deux poches de sang pour la sauce. Viens déjeuner, un bol de café et en route, sinon, Gaston donnera ma place à un autre sur le marché. Un bol de café avalé, assise au sol comme il se doit, avant de rejoindre la cage et de choisir l’une des trois tenues qu’Albert m’a achetée, toutes plus provocatrices les unes que les autres. • Avant de descendre, viens là, j’aimerais que tu me pompes et me masturbes comme la dernière fois, j’ai beaucoup aimé. Enfin un mot tendre, ce n’est pas trop tôt, je m’approche avec ma bouche, sors sa queue. Une nouvelle fois, j’arrive à gagner au moins un centimètre par rapport à la première fois. • C’est bon pompe, pompe, non, arrête, viens t’empaler sur moi, je suis sûr que ta chatte dégouline, vous dégoulinez toutes sous la charge de ma verge. Je me redresse, l’enjambe et le fais entrer dans ma vulve. Comme il l’a dit, je dégouline, placée comme je suis, le poids de mon propre corps, le fait entrer entièrement en moi, j’ignorais que j’étais aussi profonde. Profonde mais pas tant que cela, je sens que mon utérus est comprimé, ce qui m’apporte une autre sensation. Ayant pris la mesure de mon vagin, je commence à monter et descendre, la position est plus humaine que celle où il m’a baisée les autres fois et elle m’apporte d’autres sensations toutes aussi plaisantes pour autant. Il me remplit, je sais que nous allons partir, ...