Pétages de fions
Datte: 23/12/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... bon et cette douleur qui descend dans mes testicules à chaque fois qu'il tape le fond. Et je me mets à miauler, et à pousser des soupirs. Tais toi me dit-il... Ah Gregory, c'est trop bon de sentir ta bite. Tu me fais trop de bien. Et tu me baises si bien... Je lui lance entre deux soupirs. Je pense que dans les chambres contiguës, on doit m'entendre, et je décide d'étouffer mes suppliques dans les draps que je mords à pleine dents. Et je supporte le poids du corps de mon basketteur. Il m’attrape par les jambes, pour mieux me ramener dans le viseur de sa queue. Je suis comme une masse de viande qu'il ramène à lui, pour encore mieux me prendre. Je me sens embroché comme jamais. Je gémis de plaisir. Il accélère, les vas et vient, parfois en douceur pour se terminer en bourrades. Je ne sais combien de temps il va me ramoner ainsi. Jamais je n'ai ressenti une queue si profondément en moi. Il saisit ma queue et mes couilles par en dessous et me branle énergiquement. Oh la la quelle virilité, il me fait monter au septième ciel, ainsi. Et il donne de puissants coups de reins par moments. -Ah.... tu aimes trop te faire baiser....Elle te fait du bien ma bite....Je vais te donner mon jus....C'est ce que tu veux....Hein ? T'es une bonne chienne... De l'entendre me parler ainsi m'excite encore plus. Alors je remue ma croupe, je sers mes sphincters, et je sens davantage ses ruades. De très longs et profonds va et vient. Et à chaque poussée au fond, ses burnes cognent sur mes fesses. Je ...
... sens les deux sacs lourds qui s'écrasent et viennent fouetter mon postérieur, au moment ou je ressens une onde de choc parcourir mon ventre tout entier. Il a de bons rebonds mon basketteur, et il y met du cœur. C'est presque de la hargne, à ce point, mais tellement bon. Il m'empoigne maintenant d'une main par les épaules. De peur que je me défile. Il est vrai que parfois, j'essaye d'esquiver les assauts profonds. De l'autre main il maintient une de mes cuisses. Et il me bourre, car on ne peut pas appeler cela autrement, toujours. J'ai chaud. Mon front et mon corps transpirent. Car c'est aussi un autre bienfait de la baise, d'y mettre autant d'ardeur. Je suis à la fois prêt à lui demander d’arrêter, et en même temps je souhaite qu'il continue. Drôle de paradoxe. Cambres toi... cambres toi encore plus, je vais te saucer, je te baise à fond là. Clame t'il . Deux ou trois coups de reins encore plus bestiaux. Greg pousse un gémissement, et son arrière train redouble de va et vient. Puis quatre, à cinq assauts plus rudes et profonds. Il se libère. Je connais trop ces moments ou une force incroyable monte en soi dans de profonds assauts, lorsqu'on joui. Son sexe a tressailli en moi et semble encore plus gonflé, il a libéré son jus. Et moi je continue à gémir de bien être, pendant qu'il reprend le basculement de ses reins, mais moins brusques. J'ai l'impression qu'il est aimanté. En même temps son corps pèse davantage sur le mien. On sent la bête épuisée par tant de puissance déployée. ...