1. Chauffeur de taxi (1)


    Datte: 24/12/2017, Catégories: Hétéro

    ... doucement. Je caresse cette forme douce et mi-ferme, elle gémit, me démontrant qu’elle apprécie. Elle se retourne vers moi, dégrafe mon pantalon et reprend la caresse de mon pénis. Je dois soulever mon bassin pour donner ce qu’elle convoite. Je ne me fais pas prier pour qu’elle le sorte complètement. Mon jus d’excitation qui coule sur le bout de mon gland circoncis lui montre mon désir du moment quasi adultère. Elle me regarde dans les yeux et me dit : -Tu as une belle queue, je peux te sucer? -Oh, que oui! Je lui dis. Elle se place alors à genou sur la banquette tout en s’approchant de mon érection. Ce geste met ses jolies fesses à portée de ma main droite. J’en profite pour m’aventurer à les palper. Toute barrière tombée, je glisse ma main sous le tissu satiné et lui pris une fesse à pleine main, je la caresse sans gêne jusqu’à frôler son sexe. Elle bouge de manière à me faciliter la tâche. Pendant ce temps, elle donne quelques coups de langue sur mon gland pour recueillir le jus qui en coule abondamment. Elle l’englouti d’un coup, façon «gorge profonde», ce que ma copine n’a jamais réussi à me faire. Je râle de bonheur. Je continue mon exploration directement sur savulve, trempée d’excitation et complètement rasée ce qui me rappelle certaines «playmates» de magazines porno que j’ai déjà vus en page centrale. J’y cueille sacyprine pour faire glisserdeux doigts sur son bouton de plaisir. Je la sens frémir de tout son corps pendant qu’elle me pompe langoureusement, comme si ...
    ... elle savait que j’éjaculerais trop vite. Elle semble déguster ce qu’elle me fait. Sans avertissement, je décide de lui insérer mes deux doigts mouillés directement dans la chatte. Le parfum épicé qu’elle dégage me fait croire que je rêve. Maintenant, elle me pompe sans les mains, que c’est bon! J’adore voir ça. Profitant de la liberté de sa main, elle la faufile maladroitement pour me caresser aussi les fesses. Je due encore me soulever pour apprécier ce geste. Elle ne s’arrête pas là, sans prévenir, elle met ses doigts jusqu’à ma raie, d’un doigt agile et encore mouillé de sasalive et mon jus, presse ma rondelle jusqu’à me pénétrer. En un éclair, je revis un court instant, ce qu’un copain avait essayé de me faire dans une aventure de découverte sexuelle masculine lors de mes 18 ans. Je suis très surpris de l’audace de cette femme-couguar qui a beaucoup plus d’expérience que moi. Je fais donc la même chose, sorti mes doigts de son intimité pour lui faire une double pénétration dans son anus et sa vulve. Mon doigt y entre comme si ce n’était pas la première fois qu’elle se faisait sodomiser. Je pousse, le plus profondément que je peux et fais des vas-et-viens en me concentrant sur son point G. Je serre parfois mes deux doigts pour y diminuer la peau qui sépare les deux trous. Elle adore. Elle accélère sa succion sans retenu, m’enculant elle aussi de son doigt, touchant ce qui semble être un endroit sensible de l’homme, le «point P». Je continue de la pénétrer de mes doigts, ...