Première séance
Datte: 24/12/2017,
Catégories:
fépilée,
fsoumise,
hdomine,
BDSM / Fétichisme
Oral
jeu,
sm,
attache,
yeuxbandés,
fouetfesse,
initfh,
fsoumisah,
4 – Premier orgasme. Dimanche et lundi, elle fut nerveuse. Elle n’avait pas vraiment regardé le film dimanche soir, l’esprit complètement ailleurs. Lundi, elle déjeûna dans un parc non loin et apprécia la solitude du grand espace vert. Plongée dans ses pensées, elle s’imagina le déroulement de la journée du lendemain. Cependant, elle ne voulait pas trop y penser, de peur d’être déçue. Elle fit donc son possible pour s’occuper afin de se vider au maximum l’esprit mais cela ne fonctionna en fait pas tant elle était angoissée. Enfin, le mardi attendu arriva. Elle se leva à dix heures, heureuse de pouvoir dormir autant. Elle passa le reste de la matinée à se préparer puis descendit. Gilles l’attendait en bas à l’heure qu’ils avaient convenue ensemble la veille par téléphone. Ils se saluèrent et s’embrassèrent, avant d’entrer dans le véhicule garé devant le porche de l’immeuble. — J’aime beaucoup l’ensemble que tu portes, annonça Gilles.— Merci beaucoup, dit Élodie. Gilles l’emmena dans un autre restaurant de la ville, tout aussi sympathique que le tout premier. Ils discutèrent avec enthousiasme et joie. Puis, ils se rendirent dans l’appartement de Gilles et, plus ils s’approchaient de son deux-pièces, plus Gilles souriait de voir sa soumise se crisper. La nervosité de la jeune femme était transparente et cela amusait son maître. — Calme-toi, tout va bien se passer, assura-t-il. Élodie hocha la tête mais elle ne put s’empêcher de serrer sa jupe dans son poing. Enfin, l’immeuble ...
... où demeurait Gilles fut en vue et l’excitation d’Élodie monta encore d’un cran. Gilles se gara exprès sur un parking éloigné afin d’être forcé de marcher un peu. Il en profita pour prendre Élodie par les hanches et se montra aimant et tendre avec elle. Élodie apprécia mais ces attentions ne la calmèrent pas, bien au contraire. Lorsqu’ils entrèrent dans l’appartement, ils n’avaient toujours pas échangé un mot, Élodie étant bien trop nerveuse pour tenir une quelconque conversation. Gilles referma la porte avec soin puis rejoignit Élodie dans le salon. Elle était restée debout, ne sachant trop que faire. — Assieds-toi, je t’en prie. Elle s’exécuta mais ses mains tremblaient. — Tu veux boire quelque chose ? Élodie avait la gorge sèche mais elle ne se sentait pas capable d’avaler quoi que ce soit. — Non, merci, répondit-elle. Gilles disparut dans la cuisine et revint avec un plateau de jus de fruit et d’alcool. Il se servit un verre de cognac et s’en but une lampée avant de poser une main sur la cuisse d’Élodie et de souffler doucement : — Tu es plus que nerveuse. Détends-toi.— Je crois que je ne serai pas capable de me détendre.— Et moi, je suis persuadé que dans l’heure qui va venir, tu vas te détendre, beaucoup même… Élodie rougit et sourit à cette réplique. Il avala une autre gorgée puis se leva et, d’un geste, proposa à Élodie de faire de même. Elle s’exécuta puis le suivit jusque dans sa chambre. — J’ai toujours aimé la chambre et le lit comme lieu et accessoire, annonça ...