Accueil des nantis 1
Datte: 17/06/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... des lieux de réunion, m’explique Lili. Sa chambre à lit double comporte tout le confort nécessaire, y compris internet. Elle n’oublie jamais de m’envoyer un e-mail pour me souhaiter bonne nuit, en plus de ses bisous par téléphone. Nous sommes physiquement séparés mais si proches pourtant grâce aux techniques modernes de communication. Son absence est moins difficile à supporter. Aujourd’hui elle est revenue de voyage bien avant mon retour du travail. C’est le milieu d’un bel automne, le soleil a brillé toute la journée, il fait bon, le thermomètre d’intérieur indique 23°. Lili porte un pull léger à col roulé. Elle est douchée et ne se douchera pas avec moi. Pour une fois elle s’est essuyée toute seule. Me voilà privé d’un moment de plaisir. Habituellement je passe la serviette et nous finissons en jeux de mains, en caresses qui aboutissent à des étreintes coquines. Au coucher elle n’a pas besoin de moi pour décrocher son soutien-gorge, je perds encore une occasion de lui caresser les seins avant le passage à des jeux de couple. Je m’inquiète : - Tu as des soucis ? Ma présence te pèse ? - Pourquoi ? - J’ai l’impression que tu n’es pas d’humeur joueuse. - Le pauvre homme se sent délaissé. Attends, je m’occupe de toi dans une minute. Curieusement elle quitte son string en me tournant le dos et enfile une chemise de nuit à col fermé tirée du fin fond d’un tiroir où elle attendait l’hiver. Nous nous couchons, je m’approche d’elle. Elle éteint sa lampe de chevet et rit tout fort : ...
... - Que dirais-tu d’une partie de cache-cache amoureux. On se cherche dans le noir et on s’aime sans se voir. -Essayons. Sans la vue, priorité au toucher. Les mains, les pieds attrapent, retiennent. Les caresses surprennent, font rire. - Comment t’est venue cette idée ? - A force de me coucher seule, j’invente des amusements pour booster nos plaisirs. Ça ne te plaît pas ? - Si c’est pour me plaire, tu multiplies ma joie. - Embrasse-moi un peu partout. Je t’aime. Oui, là dans le cou, hum, c’est si bon, de l’autre côté. Tu négliges mes seins. Suce la pointe mon bébé. Va plus bas, plus bas encore. Tu ne remarques rien ? - Mais, ton mont de Vénus est lisse. Où est passée ta touffe ? - Hier soir je suis allée chez une esthéticienne et elle m’a convaincue de te faire une surprise. Pour toi j’ai une peau de bébé. Oui passe tes doigts. Suis la fente, mon clito a besoin d’un gros câlin. Humm ! - C’est dommage, j’aimais ta jolie touffe. Tu me montres ? - Ah ! Pas tout de suite. J’ai envie de toi. André, prends-moi. Ne me désires-tu plus ? - Guide ma queue qui vient de perdre ses repères aux abords de ta vulve. Le réveil sonne. Lili est déjà en tenue. Depuis que son salaire a fait un bond à faire pâlir ma feuille de paie, elle achète sans compter robes, tailleurs, escarpins et bijoux. Pour me plaire, répète-t-elle à l‘envi. C’est flatteur. Le dressing déborde. Devient-elle frileuse, le col roulé a changé de couleur, mais est-il indispensable quand la météo annonce du beau temps ? Première ...