1. collègues et amants (3)


    Datte: 24/12/2017, Catégories: Hardcore, Mature,

    La soirée de vendredi a été horrible, je repense sans cesse à ce moment magique dans la réserve avec Eric. Le weekend est mortel. Mon mari a voulu me faire l’amour samedi soir… L’horreur, je n’arrive pas à m’ôter de la tête la vision du sexe si long et si épais d’Eric. Je repense en boucle à ses baisers, ses caresses, les sensations lorsqu’il m’a pénétré et les 2 orgasmes qu’il m’a procuré en si peu de temps. J’ai envie d’être avec lui, de le toucher, de le sentir. J’ai envie de lui, de sentir ses mains qui me pétrissent, sa bouche sur moi, son sexe en moi. Comme d’habitude mon mari me caresse à peine, ne prend pas le temps de m’exciter correctement, et me pénètre sans originalité dans un pauvre missionnaire sans saveur. J’ai beau fermer les yeux et m’imaginer que je suis avec mon fantastique amant, je n’éprouve aucun plaisir. C’est à peine si je ressens la bite de mon mari coulisser en moi. Je la trouve aujourd’hui ridiculement petite. Il faut dire qu’il ne me laisse pas non plus beaucoup de temps pour fantasmer. Au bout de 2/3 minutes il a terminé ses affaires et se tourne de son côté pour s’endormir sans tarder, me laissant comme une conne avec toute ma frustration.Le dimanche je ne tiens plus en place. Tant pis, bien que nous nous soyons imposés le « silence radio » pendant le week end, je lui envoie un texto.« Tu me manques. J’ai envie de toi »Presque instantanément, il me répond:« je croyais que tu ne voulais pas que je t’appelle. Tu es seule? »« non mais je suis ...
    ... tranquille pour l’instant … j’ai envie de t’entendre »« tu peux m’appeler, mais fais gaffe quand même!!! »Je compose son numéro, une seule sonnerie …« oui … qu’est ce qu’il t’arrive? »« j’avais trop envie d’entendre ta voix …. C’est horrible … Tu me manques, j’ai envie d’être avec toi, j’ai trop envie de toi »Je le sens amusé« hummm … je suis flatté par cette déclaration madame !!! … Tu sais, j’ai beaucoup apprécié notre « câlin » de vendredi »« Arrête, ne te moque pas, je ne pense qu’à ça … tu m’as rendue folle … je ne peux pas trop te parler, mais je voulais que tu le saches … je t’embrasse … à lundi »« A lundi … bisous »Je raccroche juste à temps. Quelques secondes après mon mari rentre dans la pièce.Le lundi, nous nous retrouvons dans le service, la journée se passe sans particularité, mais avant de débaucher, il me propose de venir chez lui « prendre un café ». J’accepte sans hésitation, même si je sais que ce n’est pas pour son café que j’y vais.Arrivés chez lui, il m’invite à prendre place dans son canapé et part dans la cuisine préparer les cafés. Je m’installe confortablement, il revient dépose le plateau sur la table basse, va mettre de la musique et revient prendre place à côté de moi. Il passe sa main derrière ma tête et approche ses lèvres des miennes. Il m’embrasse chaleureusement et son autre main est déjà posée sur mon genou, elle comme à remonter le long de ma cuisse, relève le pan de tissus de ma petite robe en jean mais remonte jusqu’à ma poitrine. Il fait ainsi ...
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