1. Natasha & Franck (12)


    Datte: 25/12/2017, Catégories: Transexuels

    ... perfore pas le bide, il peut bien y rester tant qu’il veut... précisa-t’elle en relevant la tête pour admirer les effets spéciaux. ─ Il faudra bien qu’il sorte sinon comment allons nous jouer ce soir ? ─ C’est pas faux ! Je continuais mon petit jeu de main, débutant un dialogue entre l’alien et Alexandra qui se prêtait au jeu. ─ Dis, Alexandra, je peux rester chez toi ? dis-je en prenant une voix inquiétante et pourtant enfantine d’un pseudo bébé alien. ─ Pas ce soir, je dois aller travailler. ─ Emmène moi à ton travail, je serais sage, je veux juste te regarder pendant que tu bosses. ─ Non ce n’est vraiment pas possible, tu m’empêcherais de marcher normalement. ─ Je pourrais revenir après ? ─ Oui, bien sûr, avec plaisir… c’est le cas de le dire ! ─ Ok! Alors, je vais aller me promener pendant ce temps là. Au revoir ! Alexandra éclatait de rire, me traitant de fou. Les contractions musculaires dues au rire relançaient la stimulation de ses muscles. Elle se cambrait alors que je commençais à retirer ma main. Son sphincter interne se dilatait à nouveau mais en sens contraire. Elle se faisait l’effet d’une femme parturiente. Elle imitait la respiration et mimait les contractions d’une femme sur une table d’accouchement. La stimulation lui provoquait une belle érection. J’aspirais le gland et de la langue agaçait le frein. J’écartais parfois légèrement mon poing, dilatant un peu plus son rectum. Alexandra se cambrait alors, m’enfonçant un peu plus sa verge dans la bouche. Au ...
    ... passage, je pressais ma main contre sa prostate. La conséquence fût immédiate. Elle éjacula puis quand elle se fût vidée, elle jouissait à blanc. Son corps était agité de spasmes incontrôlables. Ses couilles, douloureuses de n’avoir plus de sperme à éjecter, étaient encore plus sensibles et quand je les caressais de ma main encore libre, elle s’affalait sur la serviette de bain. Elle plantait ses doigts dans le sable et serrait les poings. Son corps s’arc-boutait. Ses muscles étaient tant contractés que j’avais des difficultés à bouger ma main. Il faudrait bien qu’elle ressorte, sinon le concert de ce soir allait se transformer en numéro de ventriloque ! Je lui caressais le ventre, les cuisses, cherchant à la détendre. Je ressentais l’étau se relâcher peu à peu autour de mon poignet. Je reprenais mon retrait. Il était temps. Un groupe marchait le long de la plage, venant dans notre direction. Heureusement, ils avançaient lentement, se trempant régulièrement les pieds dans l’océan. Alexandra reprenait petit à petit le contrôle de son corps. Son dos recollait au sol, ses jambes se détendaient. Mais le groupe se rapprochait inexorablement. Il devait rester une cinquantaine de mètres. Alexandra inspira un grand coup puis soufflait. Elle était enfin détendue et je parvins à sortir ma main à temps. En passant à coté de nous, les cinq personnes nous saluèrent de la main. Machinalement, je leur fis également signe de la main. Leur réaction allait de la stupeur au dégout. Alexandra ...