1. Le séminaire (ou Jenna, l'allumeuse en bottes) (4)


    Datte: 25/12/2017, Catégories: Hétéro

    Je trouve cette peau si douce devant la cheminée et j’y prends place docilement. J’écarte mes jambes bottées et place ma tête sur la peau. Mon dos cambré fait ressortir mes fesses bien en l’air. Il se place derrière moi et caresse mes fesses des deux mains. J’étais au bord d’un orgasme et je redescends petit à petit. Il me doigte les deux orifices en étalant ma mouille sur ses doigts. Il me défonce avec les doigts à grande vitesse, deux doigts dans chaque orifice. Après quelques minutes passées à me faire miauler il se place derrière moi. Pas à genoux mais debout. Pliant les genoux, oui, il est au-dessus de mes fesses. Je sens son gros membre glisser dans ma chatte. Je me cambre plus car il va bien profond dans cette posture. Je couine qu’il va trop profond. Rapidement il ressort et sans poser de questions il pousse son gland dans mon cul. Je crie et me redresse un peu comme une pouliche à un rodéo. Il me tient bien par les hanches et avec un « Hhhummmpffff » il pousse au-delà de ma rondelle. ° ° ° Qu’elle est bandante à quatre pattes avec ses bas, son porte-jarretelle et ses bottes ! Elle se cambre, m’offre bien son cul, la chienne. Ah elle veut se faire défoncer, elle va être servie ! Ses deux orifices bien exposés sont un appel, entre son joli abricot bien fendu, aux lèvres luisantes d’où un filet de mouille gluante pendouille, se balance puis finit par tomber parce qu’elle ondule des reins comme une chatte en chaleur, et sa petite rosette borgne qui me fait de l’œil ...
    ... et m’attire au fond de son sillon fessier, je ne peux choisir : c’est deux doigts dans sa chatte luisante et deux doigts dans son petit sphincter que j’introduis sans trop de difficultés et qui commencent à l’investir, à la posséder... elle m’appartient totalement, cette salope ! Quel beau cul ! Elle est vraiment faite pour être baisée ! J’ai autant envie de la fesser à deux mains, à la volée, violemment, pour une claquée bien sonore, que de la pénétrer et de la défoncer. Mais je ne résiste pas à l’appel de la femelle : je m’accroupis et enfonce ma pine qui disparaît dans son fourreau de femme. Je bute tout au fond, elle crie, elle doit s’accrocher à la peau pour que je ne la promène pas à coups de bite à quatre pattes, dans toute la pièce ! Il faut dire que je l’ai attrapée par ses belles hanches que je maintiens fermement, accroissant mon emprise. Elle a passé une main entre ses cuisses et se branle la vulve, cette salope lubrique. Je n’y tiens plus : puisqu’elle en veut jusqu’à plus soif, je me retire et pose mon gland sur le petit œillet froncé... il ne va pas rester froncé bien longtemps... Je m’en vais te lui déplisser, moi : ma queue force le petit orifice et j’ai l’impression de lui rentrer tous les intestins à l’intérieur. Elle beugle, pousse un cri horrible comme si je l’avais poignardée... Mais c’est mon dard qui la poignarde, qui l’embroche, je vais lui enfoncer ma grosse queue jusqu’aux amygdales, lui ressortir par la bouche... d’ailleurs, elle bave déjà ! Non, ...
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