1. En club libertin près de Genève.


    Datte: 25/12/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... participant de la soirée. Elle était insatiable. J’étais le troisième à la baiser et elle ne semblait pas vouloir s’arrêter là. Je cédai ma place à ce lui qu’elle avait préparé et je suis allé rejoindre Kay, une jeune métisse asiatique qui semblait un peu esseulée. Effectivement son copain était occupé avec une autre fille. Nous avons échangé quelques mots et je l’ai prise par le cou pour l’entraîner à l’étage où nous serions seuls. De taille moyenne, elle avait de mignons petits seins pointus, des hanches bien galbées et un ticket de métro bien taillé ornait son pubis. Sa bouche étroite aux lèvres ourlées et pulpeuses appelaient le baiser. Nous avons trouvé une chambre vide où un grand lit nous attendait. Je l’ai baisée longuement dans des positions différentes et tous les deux nous avons bien joui. A près de 60 ans, ma jouissance était un peu plus longue à venir, même si j’avais été bien préparé et excité… J’ai quitté le club vers quatre heures du matin, les couilles vides, mais j’avais passé une excellente soirée. Je pensais à cette jeune métisse en quittant le club en direction du parking voisin quand j'ai entendu des gémissements. J'ai aperçu celle qui peuplait mes pensées du moment. Assise sur la plus haute marche du perron d'un immeuble d'une rue adjacente, sa robe troussée au dessus de ses ...
    ... hanches, son copain lui dégustait le minou à grands coup de langue en la fistant de plusieurs doigts. Quand je suis passé à leur hauteur, Kay me regardais comme si elle m'appelait mais je n’en pouvais plus… Mes couilles qui s’étaient vidées à plusieurs reprises au cours de la soirée n’avaient plus rien à offrir… Elle était si belle, si sensuelle et gourmande. A quelques mètres, je jouais les voyeurs tellement le spectacle était érotique et excitant. Soudain il s'est mis à pleuvoir de plus en plus fort, ce qui n'empêchait pas les deux tourtereaux de continuer leurs ébats. Elle le repoussa pour se mettre à le sucer si fort que je croyais qu'il allait exploser. Puis il la retourna face au mur où elle prit appui pour maintenir son équilibre. Courbée en avant, il saisit les hanches de Kay et l'embrocha violemment. Elle hurlait de plaisir sous cette étreinte sauvage. La jouissance les emporta en même temps. J'étais toujours là à les observer. Ils se rajustèrent et virent vers moi qui était toujours figé sous la pluie, croyant rêver alors que ce que je venais de voir était bien réel. Quand ils sont passés à ma hauteur ils ont semblés surpris. Elle dit quelque chose à son copain tout en s’éloignant bras dessus bras dessous. Nous étions trempés par la pluie mais j'avais passé une de mes plus belles soirées de coquinerie. 
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