1. Le manoir (2)


    Datte: 25/12/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... résistance, j’observe Pauline bouger gracieusement, allant sur chacun de mes membres pour y passer une lanière en cuir. Elle me regarde avec un air de satisfaction, je n’ose rien dire, je reste subjugué. Elle m’attrape fermement par la mâchoire, m’oblige à tourner la tête afin que je voie ce qu’il fait à Emilie. Elle est à quatre pattes, les mains menottées. Une sangle attachée à son visage, un anneau la forçant à garder la bouche ouverte. Il se met face à elle, tenant un crochet avec un bout arrondi. Elle tend la langue, cherche à lécher cette queue qui lui fait face à quelques millimètres de ses lèvres. Ce n’est pas possible, je dois être dans un rêve, jamais je ne pourrais accepter cela d’elle dans d’autres circonstances. Il s’avance, s’enfonce dedans tout en se penchant pour pénétrer son anus avec ce crochet. Tout en regardant cette scène, Pauline s’occupe de moi. Je sens ses dents sur mon gland dont ma queue ne pourrait être plus raide, le mord doucement en plantant ses ongles dans la chair de mes fesses. Je pousse un cri de douleur, tout de suite remplacé par des gémissements de bonheur en sentant à quel point sa langue est experte. Le crochet est attaché par une corde à la sangle entourant la tête d’Emilie, il la serre, force ma belle à prendre une position invraisemblable. Elle a la tête en l’air, le dos totalement courbé, les fesses offertes. Je n’en peux plus, je suis sur le point de jouir. Est-ce que Pauline l’a bien senti ? Elle mord ma verge, griffe mes ...
    ... fesses, je contiens mon cri. L’envie redescend légèrement, contrebalancée par les gémissements de plaisir de mon Emilie : il la besogne par derrière dans une danse enivrante. Pauline lâche mon sexe, il commence à me faire mal, j’ai l’impression qu’il veut grossir d’avantage, mais est trop enfermé dans cette enveloppe charnelle. Je la regarde suppliant, je suis à un doigt de l’orgasme, qu’elle me délivre enfin, j’en deviens fou. Elle pose son ongle pointu sur la liaison entre mes bourses et ma verge, remonte son doigt rapidement, mélange de douleur et de plaisir, deux jets de spermes sortent puissamment. J’en reçois jusqu’à mon visage, étonné moi-même par cette force. Je n’en débande pas pour autant, seul le surplus a été retiré. Pauline en récupère sur ses doigts qu’elle place devant mes lèvres. Je sais ce qu’elle veut de moi, je n’ai aucune envie de goûter mon propre sperme ni celui d’un autre. Et pourtant, ses yeux plantés dans les miens m’envoutent encore. J’ouvre la bouche, tends la langue et accueille ses doigts. C’est comme un nectar que je déguste, le meilleur des mets qu’il m’ait été proposé de lécher. Pauline sourit, Emilie gémit, puis les rôles sont inversés. Il est entre mes jambes, il vient de me savonner la barbe qu’il commence à raser avec une lame, telle utilisée dans l’ancien temps, parfaitement aiguisée. Je n’ose bouger de peur qu’il se manque et me coupe la peau. J’aimerais pourtant regarder Emilie qui ne cesse de pousser des cris de souffrances suivis de ...