Ma fiancée me trompe avec...
Datte: 05/07/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... préparés par ma mère. Mon père aide Lucile à s'installer, chuchote je ne sais quoi à son oreille, et la fait rire. Je profite de cet instant en famille pour porter un toast, lève mon verre, très vite imité. Maman s'est surpassée... Je reprends même du dessert. Il est presque une heure du matin quand nous regagnons le séjour, et en particulier le confort des fauteuils rembourrés. Ma mère nous a quittés il y a déjà un moment, trop épuisée pour continuer la soirée... J'ai moi-même des difficultés à rester éveillé. Lucile tapote mon épaule pour me faire réagir, ne cache pas son amusement. Mon père revient avec un album photo sous chaque bras et une bouteille de vin dans sa main droite. — De sa naissance à aujourd'hui, raconte mon père, les yeux brillants. — J'ai hâte de voir cela, continue Lucile. Je m'assoupis une poignée de secondes... Mon père vient de déboucher la bouteille de vin, remplit les deux verres posés sur la table de salon, en propose un à Lucile. Mes paupières sont lourdes, très lourdes... Pas la moindre idée du temps qu'il s'est écoulé lorsque je sors de ma léthargie. Lucile se tient au côté de mon père, à distance raisonnable. Je la vois tourner les pages de l'album, éplucher à la loupe chaque photo, tout sourire. Je m'absente une fois de plus... Ils sont maintenant bien plus proches. — Vous me faîtes marcher, s'esclaffe Lucile. — Je ne me le permettrais pas. Et j’insiste pour que tu me tutoies. — D’accord. Je suis peut-être dans l’erreur mais... J'ai la ...
... sensation très étrange que tu essaies de me séduire. Mon père ne répond pas tout de suite, soutient le regard de Lucile, et se risque à poser une main sur son genou. Ma chérie a bien du mal à ne pas dissimuler son émoi, ignorant sûrement la conduite à suivre. — Et ça fonctionne ? demande mon père, affermissant sa prise. Lucile n’a toujours pas dégagé la main de mon paternel, esquisse un sourire timide. Elle trouve son réconfort dans le contenu de son verre, ce qui fait rire son voisin. Je me sens à nouveau défaillir. Ma vision se trouble… Les images se bousculent dans ma tête. Je découvre Lucile dans les bras de mon père, les regarde s’échanger des baisers passionnés. Elle ne résiste pas lorsque mon vieux dénoue la cordelette qui retient sa robe, tire dessus pour faire jaillir sa poitrine ronde et ferme, et du bout des doigts lui pince les tétons qui durcissent en un rien de temps. — Ce n’est pas bien, lâche Lucile entre deux gémissements. Mais je ne peux m’empêcher de penser à lui quand je te vois… Et si on allait ailleurs ? — Je ne m’inquièterais pas à ta place. Mon fils dort comme un loir… Je perds encore une fois le fil du temps. — Je ne pense pas me tromper en affirmant que bien des garçons se sont régalés de toi. Mais tu n’as probablement encore jamais couché avec le père de l’un d’entre eux. — Mmmmmh… Tu as raison. Et ce n’est pas pour me déplaire ! Lucile est à présent allongée sur le dos, écarte un peu plus les jambes. Elle repousse le triangle de son string, fait signe à ...