1. L'horoscope (2)


    Datte: 25/12/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... sa jupe ? Une belle femme, félicitations ! Tu as bon goût ! Nous verrons si elle est aussi bonne que belle ! Une petite balade ! Ça te dit Michel ? Nous allons aller promener notre toutou ! Il y a un grand parc public à deux kilomètres d’ici ! Tu as dû le longer en venant chez moi ! Il n’est que vingt et une heures, il y aura sans doute encore quelques touristes. J’aimerais qu’elle soit promenée en laisse ! C’est d’accord ? — Ben ! Je n’avais pas pensé à cela ! Mais bon ! Essayons ! Allons-y ! Je n’en crois pas mes oreilles, tu veux que ce mec me promène en laisse comme une chienne ? Et vous allez m’emmener dans un parc avec des gens ? Non ! Je ne veux pas ! Je veux le hurler, mais pas un son ne sort de ma bouche ! Pourquoi est-ce que je ne dis rien ? Pourquoi aussi cette situation que me dégoute me donne-t-elle des frissons bizarres ? J’ai même l’impression que je mouille de savoir que vous allez me le faire faire ! Et l’autre-là qui me glisse sa main entre les cuisses ! — Tiens ! Regarde, je ne mens pas ! Elle est toute trempée ! Elle en jouit presque de savoir ce que nous allons faire ! C’est une bonne ! Je suis sûr qu’avec une éducation sérieuse, tu en feras une merveilleuse soumise. Il vient de me mettre une sorte de cape assez vaporeuse. Elle est en mousseline noire transparente, reliée à deux anneaux sertis sur le collier. Un mousqueton sur lequel est assujettie une laisse et me voilà emmenée dans une camionnette, comme un animal. Le pire de cette histoire, c’est que ...
    ... je ne fais pas un seul geste pour me défendre. Je suis, docile et servile, comme tu me l’as demandé alors que nous étions à la maison. Je me dis que ce spectacle doit te donner envie. Est-ce que tu bandes de me voir ainsi harnachée ? Dominique a attaché la ceinture de sécurité en travers de mon ventre nu. Le véhicule utilitaire démarre doucement, sans secousse. C’est vrai que le parc n’est pas loin ! Tout au plus cinq minutes de route ! Et me voici extirpée de la voiture. Le loup a pris la laisse en main et il me traine derrière lui. Je marche dans ses pas. Pour le moment l’air frais du soir court sur ma peau, levant du même coup cette sorte de cape qui n’est retenue que par deux anneaux. Nous marchons tous les trois, moi les mains toujours liées dans le dos et vous deux, côte à côte. Devant nous, au détour d’un petit chemin, un jeune couple qui s’embrasse. C’est donc des amoureux ? Trop occupés par le baiser qu’ils se donnent, aucun des deux ne remarque notre étrange équipage qui passe près d’eux. Maintenant, j’aperçois un peu plus loin sur un banc, un homme d’âge mûr. Lui, il me voit arriver, les seins à l’air et là, le corps entièrement dénudé. J’ai l’impression qu’il va exploser, que ces yeux vont sortir de leurs orbites ? Il se casse le cou pour tenter de voir mieux. — Arrête-toi là ! Laisse ce gentil Monsieur admirer ton joli cul ! Elle est belle n’est-ce pas ? C’est une belle pouliche, qu’en dites-vous ? — Heueu ! Je ne sais pas quoi vous dire ! Elle aime ça ? Ou bien ...
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