Je garde la fille de mes amis et sa copine - Histoires de Sexe

Je garde la fille de mes amis et sa copine

... que tu as fait Michel ? Qu’est-ce que c’est ce liquide ? Ce n’est pas du pipi ça. Josiane porte la main à ses lèvres avant de déclarer : — C’est du sperme, la liqueur à l’origine des bébés.— Oh ! Je… Je vais avoir un bébé ?… Je ne veux pas !— Qu’est-ce que tu as retenu des cours d’éducation sexuelle ? la gourmande sa copine. On t’a pas appris que c’est seulement si tu le reçois dans le minou que ça peut avoir des conséquences ?— Si… mais… j’avais oublié. Josiane lèche goulûment ses doigts. — N’est-ce pas que c’est bon ? Celle-là en redemanderait, mais la source est provisoirement tarie ! Un peu groggy, je m’assieds sur le lit froissé. — Venez à côté de moi que nous bavardions. Annie hésite à m’obéir mais Josiane, d’un bond, s’installe sur le lit. — Viens, Michel ne nous mangera pas ! Non, je ne leur veux aucun mal, juste les tenir près de moi, sentir la douceur de leur jeune épiderme. Annie consent à imiter sa copine. J’attire les deux filles par l’épaule. Leur peau est agréable sous mes doigts, quel plaisir de les caresser ! Il y a longtemps que je n’étais à pareille fête ! Josiane se colle contre moi tandis qu’Annie, plus craintive, n’arrive pas à se décontracter et je dois forcer un peu pour qu’elle s’appuie. Des épaules, mes mains touchent naturellement leur poitrine. J’empaume un sein à chacune. Que c’est tendre ! Du bout des doigts, j’essaye de saisir un téton. Je lâche leurs seins et passe la main dans leur dos, puis sur les reins. — Pourquoi vous vous caressiez ?— ...

... Parce qu’on aime ça, pardi ! affirme Josiane.— Vos parents sont au courant ?— Non, réplique-t-elle, ils ne comprendraient pas. Tu ne leur diras rien, hein ?— Non, rassurez-vous, cela restera entre nous.— On pourra continuer alors ?… Ça te dérange ? déclare Josiane.— Euh… Non, du moment que vous restez discrètes… Mais… Euh… Quand vous êtes avec des garçons ? Vous… Euh… Qu’est-ce qu’ils font ? Jolies comme vous êtes, ne tentent-ils pas de vous peloter ? De vous embrasser ?— Euh…— Et vous vous laisser faire ?— Oh non ! s’exclame Annie. Si on les embrasse, les garçons, ils veulent tout de suite baiser.— Ah ?— Oui ! Ils n’ont que cela en tête !— Et toi tu ne veux pas… Tout en parlant, mes mains ont atteint leur postérieur. Mes doigts fouillent dans la raie et chatouillent leur anus. Si Josiane se dérobe, Annie grogne de plaisir et se laisse faire. — Non, je… aah !… Je veux rester vierge, dit-elle.— Toi aussi, Josiane ?— Euh…— Elle ? Elle a déjà couchée avec des garçons ! s’exclame Annie… Tu ne peux pas nier, je t’ai vue avec Maurice !… C’est le fils de son voisin, précise-t-elle à mon intention… Oui, l’autre jour, quand tu es partie avec lui je t’ai suivie. J’ai vu ce que vous avez fait ! Je regarde Josiane qui détourne la tête pour ne pas avoir à me le confirmer. — Ne te fais pas de mauvais sang ! Je ne raconterai pas tes exploits à tes parents… Mais toi, Annie, si je comprends bien, tu veux arriver intacte à ton mariage.— Oui. Je me réserve, moi… aah !… Pour mon futur… aah !… ...