1. Les vacances de Julie - 3


    Datte: 26/12/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... sa place, tout contre le petit trou qu'elle nous présentait depuis quelques minutes maintenant. Puis j'ai poussé, tout doucement. Julie a grogné un peu, les dents serrées, mais j'ai fini par faire rentrer l'objet étranger en elle. Seul un petit diamant rose en plastique dépassait de son anus, et sur lequel ses fesses sont venues s'écraser lorsqu'elle les a lâchées. Une claque sèche est venue les secouer. — En route, ai-je alors dis, la visite n'est pas finie. Nous sommes partis sans demander notre reste ni dire au revoir au gérant du sexshop, et avons déambulé dans le quartier des Terreaux. Julie n'arrêtait pas de tordre du cul. Il était quand même très gros, selon elle. — Habitue toi rapidement, lui ai-je dis. J'ai prévu bien pire pour ton petit trou. J'aimais lire ce mélange de peur et d'excitation sur le visage de Julie. Ça me donnait envie de tout lui faire, surtout ce qu'il y avait de plus pervers. J'étais persuadé qu'elle mouillerait quand même dans ces conditions. Une fois passée la Place des Terreaux, on a amorcé la montée vers la Croix-Rousse, en passant par le quartier des Pentes. Là se trouvaient un grand nombre de traboules, des passages plus ou moins secrets qui traversent les pâtés de maison, et qui permettent de joindre deux rues via les habitations. La plupart de ces traboules faisait figure de passage obligatoire pour grand nombre de touristes. Mais ayant grandi dans le coin, j'en connaissais certaines qui n'était plus ou très peu empruntées. Et c'est ...
    ... celles-ci que j'ai voulu faire découvrir à Julie. Nous avons poussé une lourde porte et sommes entrés sur un palier, comme si nous habitions l'immeuble, avec à gauche des boîtes aux lettres, et à droite un escalier pour aller aux étages. Tout droit, au fond du hall, une petite cour intérieure permettait d'admirer l'architecture des lieux. Au fond de cette cour, nous avons emprunté un couloir, assez étroit, tournicotant à droite puis à gauche. Au milieu de ce couloir se trouvait une autre petite cour, pas plus grand qu'un puit de lumière. C'est là qu'étaient entreposées les containers à poubelle. C'est là aussi que j'ai décidé d'arrêter Julie. — Enlève ta robe, lui ai-je dis. — Entièrement ? Elle a reçu une gifle pour toute réponse. Il n'y avait pas à discuter. Elle a regardé autour d'elle avant de s'exécuter et de faire passer son unique vêtement au-dessus de sa tête. Pendant un instant, je l'ai admirée, dans sa plus totale nudité, dans ce couloir crasseux et public, au milieu de poubelles. Evidemment, je me suis tout de suite mis à bander. Et du coup, j'ai défait ma ceinture et sorti mon sexe. Julie, petite chienne affamée, l'a regardé avec un sourire. Pour un peu elle s'en léchait les babines. — Tourne toi, s'il te plait. La politesse était superflue, l'ordre par contre était froid et sans appel. Julie s'est retournée, comme demandé, et en poussant sur son dos, l'ai forcée à se cambrer, en s'appuyant contre la benne à ordures. Ainsi positionnée, son cul s'offrait à moi, et je ...
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