1. Quand Paula rencontre Alexandre !


    Datte: 26/12/2017, Catégories: fh, fhhh, hplusag, amour, volupté, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation facial, Oral pénétratio, fsodo, yeuxbandés, ecriv_f,

    ... ou bien alors il demeure tendrement à mes côtés, me caressant doucement le visage, m’offrant son sourire et ses mots d’amour, et en me susurrant : "Il n’y a ici que toi et moi. Ce membre qui investit tes reins, c’est le mien, et je veux que tu me sentes au plus profond de toi. Je t’aime!" Cette baroque, mais si renversante déclaration, le miel de ses baisers aussi doux que la robe d’un papillon, la lumière vacillante et jaunâtre des bougies disposées dans la pièce, l’air de celle-ci frissonnant aux accents des chants du cinquième mouvement des "Vêpres pour un Confesseur" de Mozart, tout cela me met au supplice et je ne sais plus si je dois lui rendre encore et encore ses tendres baisers d’amour, ou bien si j’ai envie de me presser bien davantage sur cette verge qui me perfore les reins et qui ne peut être que celle de mon amant. Mais le plus souvent, je n’y tiens plus et sans m’en rendre réellement compte, mes fesses se mettent imperceptiblement à rouler sur cette dernière, et comme cela n’échappe jamais à Alexandre, je me mets alors à frémir d’impatience, ne sachant plus quel est mon désir le plus fou et le plus ardent : le voir me donner toute sa langue, le sentir s’immiscer entre mes lèvres, qu’elles appartiennent à ma bouche ou à ma chatte, le percevoir sur la peau de mon ventre tandis que sa main vient rejoindre la mienne sur les chairs détrempées de ma vulve, nos doigts joints ayant toujours le pouvoir de me tirer un orgasme d’une pureté et d’une violence inouïes.. ...
    ... Par trois fois déjà, j’ai eu la surprise d’assister (complaisamment) impuissante à une variante. Je me souviens de ce premier soir où j’ai pressenti qu’il allait en être différemment. Ce jour-là, Alexandre est venu me chercher avec son véhicule et j’aurais pu croire qu’il me conduisait à Versailles afin que nous y passions une soirée dans le style de celles à laquelle j’étais accoutumée, mais non, quelque chose me disait qu’il allait en être autrement. Je ne me trompais pas. Passé le seuil d’un immeuble situé en plein centre de la ville, nous avons contourné des escaliers de bois pour accéder à une double porte. C’est là, à l’instant même où je notais le caractère cossu de cette dernière, qu’Alexandre a sorti de sa poche une sorte de demi-cagoule et qu’il m’a demandé de l’enfiler. Si la peur m’a brusquement crispé le ventre, j’ai néanmoins obtempéré, faisant glisser la cloche de tissu élastique jusqu’à ce que celle-ci vienne recouvrir la partie supérieure de ma tête, et cela jusqu’à l’arrondi de mon nez. Privée de la vue, ma mémoire n’a gardé que deux souvenirs : l’un auditif, apporté par le son bref et strident de la sonnette, l’autre olfactif, amené par le parfum fleuri qui flottait dans l’air de la pièce dans laquelle l’on m’a conduite. Qui y avait-il à l’intérieur de celle-ci? Combien de paires d’yeux se sont alors posées sur moi? Comme mon amant n’a jamais voulu me le dire, j’en suis réduite à des estimations : cinq, à ce qu’il ma semblé, dont une femme. Puis, très vite, ...
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