1. Les tourments d'une espionne lesbienne


    Datte: 05/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne Inceste / Tabou

    ... spectatrices sortent de leur sac toutes sortes de jouets sexuels : vibromasseurs de toutes formes et tailles, godemichés, aspirateurs électriques de clitoris de type « womanizer », plugs anaux, boules de geisha… tous, bien sûr, fabriqués chez Big Sister, où la masturbation collective fait partie de la culture d’entreprise. Les unes abaissent leurs pantalons, ou bien relèvent leur jupe, exposant ainsi leurs petites toisons herbues ou leurs foufounettes glabres. Les autres, plus pudiques, préfèrent garder leur culotte et se stimulent au travers. Mais toutes, sans exception, commencent à se délecter des malheurs de Vanessa. Celle-ci est ravie que l’on se livre à l’onanisme et ne souhaite plus qu’une seule chose : que le spectacle de sa séance de torture soit à la hauteur des espérances de celles qui sont venues l’admirer.Soudain, la doctoresse commence à chatouiller un pied ! Des doigts agiles courent sur les plantes avec vitesse et dextérité, en insistant sur les minuscules zones qui, fortement innervées, sont ultra-sensibles à la moindre palpation. Vanessa ne peut s’empêcher de rire d’une manière compulsive, tout en essayant désespérément de se dégager, en sachant bien que le moindre mouvement lui impossible, mis à part de tourner éperdument sa tête de gauche et de droite, très vite. Maëva attend que sa prisonnière n’en puisse plus et se mette à parler. De toute manière, personne n’a résisté plus de dix minutes à ce traitement. Elle a pleinement confiance en sa féroce ...
    ... doctoresse, experte en chatouillement des pieds féminins.– Qui sont tes complices, hurle-t-elle afin de couvrir les rires saccadés de Vanessa ? Parle, et nous te laisserons tranquille.Elle ment effrontément, car il ne saurait être question d’annuler le spectacle : les filles de Bug Sister seraient trop déçues. Le visage empreint de désespoir des victimes qui se rendent compte qu’elles sont torturées quand même, après avoir parlé, fait partie des grands moments de joie sadique de ces odieuses fêtes. À ce moment-là, le plus souvent, la condamnée, les yeux exorbités d’angoisse, demande à être achevée comme le matador achève le taureau dans l’arène sous les hourras de la foule – en vain, évidemment, car ici, on n’attente à la vie de personne. Cependant, Vanessa résiste avec un courage inattendu : elle ne dit pas un mot et se contente de hurler sous les insupportables chatouillements. La doctoresse a changé de pied, afin de varier les plaisirs, et aussi parce que la sensibilité d’un organe chatouillé finit par baisser lorsque l’on insiste.Juste avant qu’on l’emmène au supplice, alors qu’elle se trouvait encore dans son étroite cage, une ouvrière compatissante, très jolie dans son bleu de travail, lui avait proposé un comprimé permettant d’atténuer ses souffrances chatouilleuses, en échange d’un seul baiser. Vanessa avait répondu avec véhémence :– Pas question ! Pour rien au monde, je ne me priverais de ce moment de gloire !– Mais… tu ne te rends pas compte ! Tu as pourtant vu la vidéo : ...
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