1. Je fantasme sur ma soeur (1)


    Datte: 26/12/2017, Catégories: Hardcore, Mature, Inceste / Tabou

    ... ordonna-t-elle. Jouissons tous les deux.Comme un bon chien obéissant, je sentis les prémices de mon orgasme arriver :— Aaah ! Oui ! Natasha ! Salope ! Je vais venir !— Oui ! Lâche-toi dans la chatte de ta grande sœur. Donne-lui tout ! Elle veut ton jus !— Salope ! Je veux te remplir de foutre ! Aaaah !Je lui donnai quelques derniers puissants coups de boutoir, puis mon corps se figea. Mon esprit devint blanc. Je sentis mes couilles s'ouvrir et le sperme grimper le long de ma tige avant d'éclater. Je la sentis convulser avec moi tandis que j'éjaculai en elle en copieuses giclées. Cela faisait en effet plusieurs jours que je m'étais pas branlé et j'en avais accumulé une belle quantité.— Vas-y, Julien ! cria Natasha tandis qu'elle jouissait avec moi. Je veux ton jus ! Remplis-moi bien ! Donne tout à ta grande sœur !Je grognais comme un a****l et me laissai complètement aller. Ma queue pulsait en se vidant en elle. Je voulais la faire déborder comme pour la faire mienne et marquer mon territoire. J'éjaculais mon sperme comme si j'évacuais toutes mes années de frustration. Pendant tout ce temps, elle me serrait très fort contre elle pour ne faire qu'un avec moi. Je sentis la peau de son corps chaud contre la mienne, et ses seins contre mon torse. L'expression de pur bonheur qui se lisait sur son visage me remplit de fierté et m'exhorta à lui envoyer toujours plus de mon liquide. Puis, soudain, à bout de force, je m'écroulai sur elle. Je crus que j'étais en train de mourir.Son ...
    ... orgasme passa peu après le mien. Nous restâmes là un moment sans rien nous dire. Elle m'enlaça en me caressant les cheveux tendrement. Comme si j'étais son amoureux, ou sa petite chose précieuse. Cela me rendait heureux. J'avais envie de lui dire « je t'aime », mais j'avais peur de gâcher ce moment. Au lieu de cela, elle me demanda :— Ça t'a plu ?— Oui ! Je n'ai jamais rien vécu de pareil !— Moi aussi ça ma plu. Tu m'as bien baisée. Je ne pensais pas que tu me ferais jouir.Je ne dis rien, ne sachant si je devais le prendre comme un compliment ou une insulte. Peu après, elle se releva et se rhabilla. J'en étais déçu. J'aurais pu rester dans cette position pendant des heures. M'enfin, c'était sans doute mieux comme ça. Si nos parents nous surprenaient, je n'ose pas imaginer ce qui se passerait. Nos parents... je n'y avais même pas songé sur le moment. Ils étaient juste à côté. Une chance qu'ils n'ont rien entendu.Se préparant à partir, la main sur la poignée de la porte, je lui rappelai :— J'ai droit à vingt-quatre heures, hein ? Ce n'est pas terminé, n'est ce pas ?!Elle gloussa :— Et bien, tu n'en as jamais assez ! Petit pervers !Puis elle m'abandonna.Les images de ce que nous avions fait défilèrent dans ma tête toute la matinée. Je me suis remis à bander très fort durant le déjeuner en famille. La savoir si proche de moi, là, disponible, juste de l'autre côté de la table, était insoutenable. Je m'imaginais son corps nu, et je fus envahi par une envie sauvage de la prendre. Elle ...
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