Un après-midi à la montagne - Histoires de Sexe

Un après-midi à la montagne

Le café à peine terminé, Thibaud demande à l’assistance à quelles activités on a envie de s’adonner. Il propose une alléchante petite ballade le long d’un ruisseau, avec baignade dans un trou d’eau tranquille et inconnu. Certains semblent moyennement motivés par la ballade, mais Sandrine et moi sommes partants. En fait, seuls Clément et Marc ne souhaitent pas nous rejoindre et vont rester pour jouer aux échecs sur la terrasse. Venir à la montagne pour jouer aux échecs… Enfin, c’est pas grave. Avec Thibaud, on sera de vrais coqs en pâte avec nos quatre nanas. On décide donc de s’accorder quinze minutes pour aller mettre les maillots de bain dans les chambres. Thibaud nous conseille de mettre un short et un haut, le chemin n’étant pas forcément très pratique pour marcher en maillot de bain. Nous voilà donc passablement excités, Sandrine et moi, tous les deux dans notre chambre, en train de nous déshabiller pour nous changer. Hummm, alléchant programme que ce maillot de bain jaune échancré qui gît sur le lit… Mais je ne peux m’empêcher de prendre un acompte et, quelques secondes plus tard, ce sont deux corps nus qui se roulent sur le lit, s’embrassant et se caressant dans tous les replis de nos corps. Corps passablement excités par le repas et ses à-côtés, qui redécouvrent l’action, les caresses sur le sexe tendu, les doigts qui se faufilent entre les deux lèvres humides, une langue qui parcourt un mamelon dressé. Puis un sexe tendu qui s’aventure dans une grotte trempée, ...

... arrachant un soupir de plaisir à ma jolie blonde. On ne cache pas notre plaisir, ni l’un ni l’autre. Les halètements remplissent la chambre rapidement. Nul doute que nos voisins auront entendu, mais pour l’heure, seul notre plaisir compte. Nous ne sommes pas longs à jouir et, le temps d’enfiler nos deux maillots de bain sur nos corps transis de plaisir, nous sommes largement dans les temps. En sortant dans le couloir et en passant près de la chambre de Tina et Thibaud, on entend des bruits similaires à ceux qui viennent de résonner dans notre chambre. Un petit sourire de connivence et on descend les escaliers rejoindre les deux demoiselles, déjà prêtes, qui nous attendent. Quelques minutes plus tard, nous sommes en train de sauter de pierre en pierre au cœur d’un lit de ruisseau, grimpant joyeusement vers la piscine naturelle promise par Thibaud. Les quatre demoiselles traînent un peu la patte en rigolant. Thibaud et moi faisons plus ample connaissance. On parle de Sandrine, du week-end. Je lui confirme que j’apprécie particulièrement la tournure qu’il prend et lui assure qu’il fait un excellent chef d’orchestre. Lors d’une pause pour permettre au groupe de se reconstituer, alors que Wendy râle un peu sur le fait que c’est loin, qu’elle a chaud, Thibaud l’arrose avec l’eau fraîche du ruisseau. Elle pousse un petit cri de surprise et réplique en arrosant notre hôte. Bilan des courses : Thibaud et Wendy se retrouvent bien mouillés et le t-shirt blanc de Wendy laisse apparaître le ...