1. La Gestionnaire (15)


    Datte: 26/12/2017, Catégories: Trash,

    ... Nancy... Elle se retourne rose de plaisir et veut commencer une phrase lorsqu’une remarque traverse la cuisine : — Et moi, je suis mal foutue ?? Je me retourne... Andréa est là, avec le peignoir de la salle d’eau de sa chambre. Elle laisse tomber le vêtement et fait un tour sur elle-même... — Alors le verdict ??? — Je ne sais pas, il faut voir... — Salaud !! Elle vient vers moi comme une furie, les poings serrés. Elle me frappe de toutes ses forces. Je lui bloque les poignets. — Si tu continues, je te flanque une fessée Je la prends sous le bras et la bascule sur ma hanche. Je tape gentiment sur les deux fesses rondes. Elle se met à crier — Au secours, au satyre... Je lui administre deux nouvelles claques. Elle gigote des jambes et essaie de se libérer... sans succès... Je la repose et nous partons tous les trois d’un grand éclat de rire... Elle me saute au cou et m’embrasse sur la bouche, d’un baiser chaste... — Tu ne m’as pas répondu... suis-je bien roulée ou mal foutue ?? — Vous êtes toutes les deux magnifiques, différentes mais très belles... Elles se lovent toutes les deux dans mes bras. Nous avançons vers la terrasse. Elles s’extasient devant le point de vue sur le Jardin du Luxembourg. La vue du soleil matinal, enfin presque vers 10 heures, est magnifique. C’est à cet instant de pur bonheur, qu’un léger toussotement nous fait sursauter. Nous nous retournons. Au beau milieu de la pièce, Carole est plantée, les bras croisés dans le dos. Elle porte toujours son serre ...
    ... taille, ses bas et ses talons hauts. Son cou est toujours orné du collier auquel pend la laisse. — Que dois-je faire, Maître ??? — Je pense qu’il est temps que tu quittes ces vêtements et que tu prennes une douche. Quand tu auras terminé, nous prendrons le petit-déjeuner et nous parlerons tranquillement de notre avenir... aller files vite te mettre propre... Carole part vers l’escalier. Ses fesses nues portent encore les traces des coups de cravache que je lui ai donnés cette nuit. — Carole, que prends-tu au petit-déjeuner ?? — Comme mon Maître voudra... — Réponds à ma question, sinon je te corrige très sérieusement... — Je prendrais bien un thé, s’il vous plaît... — Eh bien voilà, il suffit de la dire... Je passe un coup de téléphone au boulanger du coin de la rue et commande des pains chauds et des croissants. Nancy et Andréa se pressent dans le coin-cuisine. Comme deux petites fées du logis, elles dressent la table du petit-déjeuner sur la terrasse, à l’abri de la tenture. Quelques minutes plus tard, nous prenons tous les quatre notre petit-déjeuner. Nous nous prélassons dans les fauteuils. Je prends la parole : — Bien Mesdemoiselles, après cette nuit mémorable, il va falloir prendre quelques décisions cruciales. Je pars au Vietnam pour une année. Donc je ne serais pas là. Mon appartement sera fermé. Alors, je vous propose de rentrer chez vous. Nous nous reverrons peut-être une autre fois. Je ne pensais pas que mes propos allaient déclencher une telle hostilité. Trois furies ...
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