1. Marie et le sculpteur aveugle (5)


    Datte: 26/12/2017, Catégories: Erotique,

    ... expérience... » Il remet son caleçon avec difficulté, son engin n’ayant pas encore recouvré sa taille au repos. Puis, il reprend vite ses esprits. « Bon, fait moi voir ce que tu as fait ; je dois la dupliquer, les évider et les mettre au four au plus vite pour les coller sur les statues avant l’arrivée du client » Puis, il me regarde en posant sa main sur mon épaule nue, sans me voir bien sûr, mais je peux lire une grande émotion de tendresse sur son visage d’habitude si froid et rigoureux. « Merci Marie... tu as mérité un bon bain, allez va te détendre et... te nettoyer je suppose ? » « Ça oui, un bon nettoyage s’impose ; vous voulez que je vous essuie ? ... » Dis-je d’une voix d’ange. « Non, occupe-toi de tes vêtements » « Oui, et de ma figure ! » Je dois avoir reçu autant de sperme que les deux autres réunis ! Je sors et me mets sous la douche avec mon T-shirt pour le rincer en même temps puis je l’enlève et plonge nue comme un vers dans l’eau azure et y reste des heures à nager, barboter et lézarder au soleil, allongée sur la margelle ou assise les pieds dans l’eau à contempler l’olivier et le ciel sans nuage en rêvassant de pensées érotiques. Je repense au plaisir que je viens de lui donner et au travail que je viens de faire. Je suis contente et toute fière. Je profite de ce moment de contentement exceptionnel de félicité où mon corps et mon esprit sont en parfaite harmonie. Je m’allonge encore sur la margelle brulante, sur le dos, les jambes pliées et ...
    ... grandes ouvertes et me passe ma main sur mon sexe glabre qui m’excite tant. Il ne faut pas longtemps pour que je sente mes jus couler et mon excitation monter ; je repense à ces instants intenses, puis regarde ce que fait Lucien. Il s’affaire devant le four en simple caleçon. Par cette chaleur je me dis ! Il doit être en nage. Je me caresse en repensant à son sexe qui me crachait dessus tout ce qu’il pouvait. Je demande depuis combien de temps il n’avait pas joui...J’adore me caresser de plus en plus ... Je me sens en manque si je ne me touche pas tous les jours. Comme une addiction. Une addiction au sexe... ça m’inquiète un peu. Je me demande si tout le monde est comme moi, si je suis normale. Tout en réfléchissant, je ne cesse de me triturer le bouton. Allongée, je ferme les yeux, les cuisses grandes écartées et revois le sexe énorme du Prof se décharger sur moi. Je suis au bord de l’orgasme. J’introduis alors deux doigts dans ma fente béante, trempée et chauffée à blanc par les rayons du soleil et je me finis toute seule en gémissant et tremblotant de tout mon corps. Je m’abandonne à la jouissance en resserrant ma main prisonnière d’entre l’étau de mes cuisses. Puis, après les dernières secousses, je roule sur le côté pour me laisser tomber dans l’eau et rester au fond à flotter entre deux eaux admirant les scintillements des rayons de lumière au travers du liquide bleuté. Plus tard, je remonte enfin pour m’endormir à nouveau dans l’herbe tendre; apaisée et repue... 
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