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le conflit des générations (4)
Datte: 27/12/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme
... attendant le dessert, je me mis debout et il fouetta ma poitrine avec le martinet coloré qui ne faisait pas mal. Je gémissais de plaisir. Ma tante posa le gâteau sur la table, s’approcha attrapa mes tétons et les tira en les tordant. Je gémis plus fort, Albert fouettait mes fesses. Puis on se remit à table et ils continuèrent à titiller mon clito.On s’installa au salon et toute la soirée pendant qu’ils titillaient mon clito, nous regardions toutes les vidéos qu’ils avaient tournées. Mon excitation était à son comble mais je subissais sans rien dire. On alla se coucha après une dernière séance de fouetage et une dernière excitation. Ma tante m’attacha aux barreaux du lit pour que je ne me caresse pas pendant la nuit. Je les entendis faire l’amour ce qui m’excitait aussi. Puis ils vinrent m’exciter à plusieurs reprises durant la nuit pour me maintenant dans un état insupportable pour mes nerfs .Au matin, je fus détacher et je bougeais pour enlever l’ankylose qui m’avait gagnée tout en subissant l’excitation constante de mon clito. Albert arriva avec le camescope pour filmer et ma tante décida de me mettre le cintre à jupe aux seins. Je fus bâillonnée pour étouffer mon cri. Elle y mit une corde au cintre et tira dessus puis je dus la suivre partout à quatre pattes. Elle l’enleva et on prit le petit déjeuner toujours maintenue en état d’excitation, je n’en pouvais plus de frustration. Francis arriva puis Gérard. Je fus attachée en croix sur la table. Ils continuèrent tous les ...
... quatre à m’exciter. Francis installa une pompe sur mon clito et Gérard me fouetta les seins avec le martinet noir mais ma tante veilla pour que je ne sois pas trop marquée car ce n’était que le début du week-end et elle voulait faire durer le plaisir. Francis me baisa sans aller jusqu’au bout puis Gérard prit sa place. On me détacha les jambes pour les relever Albert en profita pour me sodomiser. Je gémissais sans discontinuer ma tante filmait tout en gros plan. Puis elle me fouetta sur tout le corps. J’étais très excitée mais je ne fus pas autorisée à jouir. Je fus détachée. Et ma tante se mit debout au milieu du jardin. « Si tu veux jouir, tu vas ramper à mes pieds et me supplier » Je m’allongeais sur le ventre et ramper à travers le jardin, j’étais couverte de terre et d’herbe. Arrivée à ses pieds, je la suppliais et lui baiser les pieds. Elle enleva ses chaussures, je dus les lécher et sucer ses orteils. Je dus ramper dans l’autre sens et aller baiser les pieds des 3 hommes qui se moquaient et m’insultaient. « Regardez-moi cette chienne qui veut jouir. Une grosse salope prête à tout pour ça. Une vraie pute, il n’y a que le train qui ne lui est pas passé dessus » J’étais humiliée mais ça m’excitait. On m’arrosa avec le jet d’eau glacée pour me nettoyer et on m’attacha dans le jardin au soleil pour que je sèche. Dans la matinée, nous étions samedi le facteur arriva et put me voir. Il s’approcha et en profita pour me tripoter. « Je vous en prie, ne me faites pas jouir sinon je ...