1. Une homme la première fois, trois cette fois-ci


    Datte: 27/12/2017, Catégories: hh, hdomine,

    ... garder en moi. Il a fait aller et venir sa queue. Pour que le sperme ne sorte pas de ma bouche, ainsi qu’il le voulait, je fermai mes lèvres sur sa queue autant que je le pouvais. Ce qui évidemment lui plaisait beaucoup. Et puis il s’est arrêté, a attendu un instant, me sachant la bouche toujours pleine de son foutre. Il s’est légèrement penché vers moi et m’a dit : « Dis donc, c’est vrai ce qu’il nous a dit, notre copain, on peut faire ce qu’on veut avec toi ? Il est bon, mon foutre ? » N’osant pas ouvrir ma bouche remplie pour parler, j’ai fait oui de la tête. Machinalement. Comme un automate. Ils se marraient tous les trois. Puis le dernier m’a dit : « Maintenant, avale tout ce que je t’ai balancé dans la gueule. » Il a fallu que je m’y reprenne à plusieurs fois, tant j’avais de sperme à boire. Mais j’y suis arrivé. Et une fois encore, servile sans même attendre une quelconque consigne, j’ai ouvert la bouche pour leur montrer qu’il n’y avait plus rien dedans. J’avais fini d’avaler trois éjaculations abondantes, épaisses, gluantes, de trois vieux types que je ne connaissais pas une heure avant, dont j’ignorais toujours tout, et qui m’avaient utilisé pour se vider les couilles après une trop longue abstinence. Maintenant tous les trois me regardaient. Comme s’ils n’en croyaient pas leurs yeux. Le deuxième dit : « Mais pourquoi tu fais ça ? C’est dégueulasse ! » Je n’ai pas su quoi répondre. Comment leur expliquer que même si c’était ...
    ... effectivement sale, c’est ce que je voulais, ce qui m’excitait. Dès la rencontre de la semaine précédente j’avais compris ce que je pressentais : je voulais être soumis à d’autres hommes, et faire ce qu’ils voulaient de moi. Avec en plus une excitation proportionnelle au caractère excessif de ce que je devais faire. Ils se sont éloignés sans me dire quoi que ce soit d’autre. J’étais dans un état second. Trois hommes venaient de m’utiliser comme un vide-couilles et, après avoir sucé des bites, j’avais avalé trois éjaculations considérables en quelques secondes. Et j’allais reprendre ma voiture comme s’il ne s’était rien passé. J’allais partir quand le premier est revenu. Il m’a dit qu’il devait emporter mon numéro de téléphone. Je lui ai donné sans demander d’explication. J’avais déjà compris. Je n’allais pas échapper à la prochaine étape : me faire enculer par une très grosse queue. Et j’allais attendre que l’homme rencontré la semaine dernière me donne rendez-vous. Avec impatience. Car je le savais, j’étais psychologiquement prêt pour une expérience anale. À son rendez-vous, je m’y rendrai sans hésiter. Pour lui offrir mon anus et qu’il en fasse ce qu’il veut. Pour que, si tel est son souhait, il m’encule longtemps et profondément, même si son gros sexe me dilate douloureusement. Avant, peut-être, de sortir sa bite de mon cul et de venir la mettre dans ma bouche pour de nouveau y envoyer tout son sperme. Comme dans mes fantasmes. Avec mon consentement. 
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