1. histoire 4: florence et ma vistoire


    Datte: 28/12/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... par la veste close et le ventre nu sous la jupe.On arrivé dans le restaurant. Il donne par devant sur une rue, par derrière, via la seconde salle sur une rue « parking ». Nous entrons, il a réservé. La table, prévue pour six convives, est dans la salle du fond, déserte par ailleurs, à l’abri d’un aquarium. Je me dis que le pire est évité, on attend seulement quatre convives…Au moment de m’asseoir, au milieu, côté mur, il m’ordonne de tirer la veste. Ça se complique…Il me dit de remonter les tirettes. Je les monte à moitié, on voit le dessus des bas. Je dois les monter en haut et m’asseoir directement, fesses nues sur la chaise, trouée de trous circulaires. Quand le garçon vient pour voir si nous voulons déjà boire quelque chose, j’essaie de croiser les bras. Un regard pour m’intimer de les écarter. Le garçon regarde ma poitrine sans vergogne.Gérard me prévient que les amis du groupe s’embrassent.Ils arrivent à quatre. Je me lève pour les saluer. Le premier m’embrasse, sa langue me fouille. Je suis un peu surprise d’une telle attaque. Par contre ma tenue n’a pas l’air de l’émouvoir. Le deuxième, lui, tout en m’embrassant, glisse la main sur mes fesses par la fente de la jupe. Le troisième se sent obligé de me pincer un téton. Le quatrième se contente de ma bouche.La discussion à table est tout à fait paisible. Si je n’avais pas la poitrine découverte et si je ne sentais pas l’air sur ma chatte et mon anus, tout serait normal. Au moment du café, Gérard annonce qu’il va partir ...
    ... en avance pour accueillir les autres chez lui. Coup de froid dans mon ventre.Il part. Là je commence à comprendre ce qui m’attend. Une tournante géante. Mon voisin de gauche tire sur mon genou pour l’écarter, celui de droite embraie. Un petit coup de dos de la main sur le pan de la jupe, et j’ai le sexe nu offert à leurs regards.Nous quittons le restaurant par la porte arrière. Ils sont venus dans une seule voiture. Une vieille BMW série 5. Je monte derrière, au milieu.Avant même de démarrer, mon voisin de droite m’embrasse. Profondément, longuement, avec fougue. Des doigts attaquent les boutons du chemisier, d’autres les tirettes. On tire sur mes vêtements. Quand il retire la langue, il ne me reste que les bas et les chaussures. On démarre. Avant la sortie La Hulpe, je suis complètement nue. Mes voisins me font poser les talons sur les dossiers des sièges avant, de part et d’autre des appuie-têtes. Ouverte, offerte aux regards et aux doigts qui fouillent mon vagin. Ils sont décidés à me garder chaude.Nous arrivons chez Gérard. Une voiture est déjà dans l’allée. Ils me prennent par les bras et m’entraînent rapidement. Même pas le temps de voir les autres invités. Je suis dans la chambre. On me lie les poignets joints au dessus de la tête, à la tête de lit. On me plie les jambes avant de lier les genoux aux côtés du lit. La position est inconfortable, je suis ouverte au maximum, à la limite de la douleur. Les chevilles sont à leur tour attachées. On me bande les yeux. On me ...