J'AI PERVERTIS MA COLLEGUE N°4
Datte: 28/12/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
De voici de retour, avec un nouveau pseudo et nouveau mail, mais pourtant c’est bien la suite de ma chère collègue Fannie, cette petite bourgeoise à qui je fais découvrir la perversité de la vie intime avec son consentement. Fannie ne demande qu’à continuer dans nos jeux, elle est demandeuse, mais jusqu’où est-elle prête à aller ? Pas facile à évaluer. Samedi 14h, Fannie me téléphone pour me dire qu’elle a un rendez-vous près de chez moi et qu’elle aimerait bien me voir. Franchement je n’avais pas prévu et pas forcément envie de la voir. Je lui dis donc de me rappeler éventuellement après et que je verrais si je suis disponible à ce moment-là. Un peu plus de deux heures plus tard, elle me téléphone. Bon d’accord, je lui dis de me rejoindre au pub. Fannie arrive et nous nous mettons à discuter. -c’est quoi cette coiffure Fannie ? -je sors de chez ma coiffeuse, elle m’a fait une permanente. -ah oui ! Ok -tu n’aimes pas ? -oui enfin il y a mieux. Fannie est un peu vexée et elle décide de partir. Je la rattrape dans la rue, lui prend la main et l’amène chez moi. Elle ne se fait pas vraiment prier. La porte à peine fermé, je plaque Fannie contre le mur. -qu’est-ce qui ne va pas ? -tu me critiques, tu n’aimes pas ma coiffure, j’en ai marre. -oui et alors ? Je dois te dire ce que tu veux entendre ? Ta coiffure est bof, il y a mieux. -tu es juste pas sympa, limite gougea. -je dis ce que je pense. Si tu veux que je mente, ne compte pas sur moi. J’ai une amie coiffeuse qui te mettrait ...
... bien plus en valeur, que ta soit disant permanente. Il y a un long moment de silence, puis Fannie rétorque. -eh bien présente-moi ton amie. -ok je l’appelle pour voir si elle n’est pas trop prise. Je téléphone à Amina, une belle algérienne qui tient un salon de coiffure. -bon ! Ok elle veut bien te voir mais ne pourra pas s’occuper de tes cheveux aujourd’hui. Elle donnera son avis. Nous pouvons y aller dans 2 heures. -Ah oui, mais… il faut que j’appelle à la maison pour prévenir que j’aurais du retard. Fannie s’isole pour téléphoner à son ami. A son retour, je la bascule sur le canapé, lui retrousse sa jupe et retire sa petite culotte. -c’est quoi cette culotte ? -je ne savais pas que, enfin je n’avais pas imaginé que nous nous verrions et que… Je me plonge dans son entrejambe et ma langue fouille sa toison pour trouver son intimité. Elle mouille déjà abondamment. Je recueille ce liquide qui coule dans son entrejambe et m’active sur son clitoris. Sans grand effort, Fannie libère son plaisir exprimant sa jouissance. Je ne lui laisse pas le temps de reprendre ses esprits, je la retourne, la fait mettre quatre pattes, sort ma queue et la pénètre d’un coup. Son intimité est tellement lubrifiée que la pénétration est sans obstacle, sans retenue. Mes vas et vient sont par moment lent, langoureux, puis vigoureux, claquant mon pubis fortement contre ses fesses, arrachant à Fannie des râles de plaisir. -alors tu ne pensais pas me voir aujourd’hui ? -noonn !!! -et pourtant tu es là, tu ...