Un chien qui s'ignore 6
Datte: 28/12/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Mature,
... collier.Je dormis peu. J’attendais qu’elle se lève. Toute la nuit j’avais ficelé des scénarios de la journée qui m’attendait. Elle ne pouvait pas me garder ainsi indéfiniment, je devais aller travailler et reprendre une vie ‘normale’ !!Je n’osais pas protester dans mon bâillon quand je la vis prendre sa douche, descendre déjeuner, s’occuper de Toby. Elle remontait dans la chambre et ouvrait le dressing pour se choisir une tenue, sans se préoccuper de moi !Je la voyais se maquiller, se coiffer, prendre son temps. Elle finit par sortir une de mes chemises et un pantalon et les fourra dans un sac, avec d’autres vêtements. Je tirais sur la laisse pour marquer mon impatience : je devais prendre une douche pour nettoyer mon corps meurtri du week end, me raser. Bref reprendre une allure présentable !Elle finit par m’entrainer en bas et me fit sortir pour monter dans la voiture, dans le coffre.Je paniquais complètement quand je vis par les vitres qu’elle prenait le chemin de mon travail. J’étais nu quasiment dans le coffre, équipé d’un collier, du bâillon et des sachets autour de mes mains ankylosées !Elle se gara un peu plus loin dans un parking souterrain, laissa le moteur en marche en me détacha mon collier, mon bâillon et tout mon arrachement. Je me mis assis dans le coffre et frottait mes poignets et mon cou rougis des frottements du week end.‘Voila tes affaires, tu t’habilles rapidement, tu rentreras en bus ce soir, voila l’argent nécessaire’‘Merci’ je ne voyais pas quoi ...
... reprendre d’autre. J’ouvrais le sac de mes affaires pour m’habiller rapidement à la vue du moindre passant. Je ne trouvais en guise de sous vêtement qu’une culotte de ma femme en dentelle. Je la regardais incrédule.‘Dépêches toi Rex’ Je dois partir j’ai d’autres chiens qui m’attendent’ (rappel ma femme travaille dans un cabinet vétérinaire)J’enfilais la culotte, puis le reste de mes affaires. Je n’osais imaginer mon visage encore marqué par le bâillon, des traces de bave séchée devaient être visibles. Elle démarra aussitôt et me laissa là, désemparé mais satisfait aussi de reprendre ma vie d’homme, enfin !En entrant dans l’entreprise, j’essayais de me faire discret et rejoins aussitôt les toilettes pour trouver une glace et me nettoyer.Je rejoignais mon bureau, les collègues me regardaient d’un drôle d’air en voyant ma barbe de deux jours, ma peau marquée, mon pantalon fripé. J’étais mal à l’aise avec cette culotte sous mon pantalon. Est-ce qu’elle pouvait se voir ?Une fois assis à mon bureau, je soufflai comme pour oublier mon week end, mon humiliation. Je devais me concentrer pour retrouver mon esprit de responsable de service, ne pas penser à toutes les flagellations dans mon dos et sur mes fesses et cette culotte inconfortable.Heureusement en tant que responsable, j’arrivais toujours plus tôt que les autres et je pus reprendre mes esprits doucement avant leur arrivée. Du moins j’affichais un visage que je voulais serein et autoritaire. Dans mon cerveau, tant de questions se ...