1. Isabelle, ma voisine inaccessible


    Datte: 29/12/2017, Catégories: f, h, fh, fhh, extracon, voisins, vacances, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio,

    ... remarqué, mais elle continue de se frotter dessus pendant que je lui caresse les seins. D’un léger coup de reins, Isabelle se relève légèrement, et mon gland redressé se retrouve au contact de sa vulve. Le mouvement retour de son va-et-vient, accompagné d’un roulement du bassin, fait disparaître intégralement mon sexe dans le sien. Cela n’a duré qu’une fraction de seconde. Elle est diablement experte et connaît son corps apparemment à la perfection. Cette pénétration lui a arraché un petit cri de bonheur. De mon côté, je dois dire que cela a été magnifiquement bon. Ma verge a soudainement été gainée d’un fourreau chaud et humide alors que je ne m’y attendais pas encore. Isabelle continue son action et fait coulisser mon sexe dans le sien par de simples mouvements du bassin. Elle agit sur son vagin en provoquant des contractions régulières qui titillent ma verge, depuis l’intérieur de son corps, de manière exquise. Jamais encore on ne m’avait fait cela. En fait, elle est en train de me baiser. Sa respiration est de plus en plus hachée et elle lâche des soupirs de plaisir à chaque mouvement. Je continue pour ma part à lui caresser les seins, mordillant les tétons. Je me souviens alors de la façon dont elle les triturait sous la douche et décide de les lui malaxer sans précaution. Je serre fortement ses seins dans mes mains et pince douloureusement les tétons. La réaction est immédiate et Isabelle jouit intensément. Ses mouvements de bassin deviennent frénétiques sur ma verge ...
    ... et elle jouit sans discontinuer, criant son plaisir et hurlant mon prénom de plus en plus fort. Je n’en peux plus et je me vide en elle, longuement. L’excitation retombe et elle s’affale sur moi, toujours pénétrée de mon sexe. Nous restons ainsi un certain temps, reprenant des forces et nos esprits. Allongé ensuite côte à côte, nous nous prodiguons de nombreuses caresses douces sur le corps tout en engageant à nouveau la conversation. Isabelle me demande si cela ne me dérange pas de devoir nourrir le chat. Je réponds bien sûr par la négative. Elle demande ensuite si je pense à bien fermer la porte à double tour quand je m’en vais car elle n’aimerait pas être cambriolée. Aucun souci, je ferme à clé à chaque fois. Pourtant, me rétorque-t-elle, elle a trouvé la porte non fermée à clé hier en début de soirée. Et voilà ! Je suis coincé ! Je prends un peu de temps avant de répondre : — Hier ? Hier ? Ah oui ! Je ne trouvais plus de nourriture pour le chat, alors je suis allé en acheter. Ça m’a pris une heure pour trouver quelque chose d’ouvert, mais quand je suis reparti, j’ai bien refermé derrière moi. Elle me regarde en coin. — Laurent, me dit-elle doucement, tu as de la nourriture pour chat chez toi, et tu es sorti en acheter ! Ne me raconte pas de bêtises (dit-elle en riant) ! Tu étais là ? Je suis couvert de honte. Je ne sais pas où me mettre. — Oui, j’étais dans la chambre de vos enfants.— Alors s’il te plaît, ne me juge pas pour hier, car tu as certainement constaté certaines ...
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