Isabelle, ma voisine inaccessible
Datte: 29/12/2017,
Catégories:
f,
h,
fh,
fhh,
extracon,
voisins,
vacances,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
... un porte-jarretelles noir lui aussi et surtout le bijou particulier dont la boîte vide est sur la table de nuit. Côté culotte, rien ne manque, mais elle a dû en mettre une classique me dis-je pour me rassurer, même si je sais que cela ne tient pas : on ne met pas des sous-vêtements archi-sexy pour enfiler une culotte de grand-mère avec. Elle est donc cul nu. Je veux hurler ! Quel genre de femme est-elle donc ? Et moi dans tout cela ? Elle a pensé à moi ? Me lamentant, je retourne chez moi. C’est l’heure du dîner, mais je n’ai pas d’appétit. Le match à la télé ? Je m’en fiche. Je ne fais que penser à elle et je surveille régulièrement le couloir par le judas. 23h15, l’ascenseur fait du bruit. La lumière du couloir s’allume. J’ai l’œil collé au judas. Isabelle apparaît suivi par deux grands gaillards de 30 ans environ. Elle est vêtue d’une jupe plissée jaune qui s’arrête au-dessus des genoux et du bustier noir dont j’avais noté la disparition. Elle est magnifique et rayonne, sans doute a-t-elle un peu bu. Elle cherche ses clés dans son sac et l’un des gars en profite pour passer sa main sous la jupe, lui caressant la fesse droite. Il lui a remonté la jupe ce qui me permet de voir le haut de ses bas et les attaches des jarretelles. Il appuie tellement sa caresse que je vois même les fesses dénudées d’Isabelle, justes striées par les deux jarretelles. Elle a un cul superbe. Elle ouvre la porte et allume la lumière. La porte va bientôt se refermer et je vais rester à maudire ...
... cette femme. Je la vois une dernière fois, en train d’enlacer un des gaillards pendant que l’autre ferme la porte sur mon tourment. Et celui-ci ne fait que commencer. Il ne faut pas plus de 10 minutes avant que je n’entende Isabelle râler de plaisir. Ils doivent être dans le salon, car j’entends assez bien depuis la porte d’entrée. Je l’ouvre pour mieux écouter. Elle crie carrément de plaisir et je l’entends soudain jouir. Ce n’est pas fini pour autant car elle recommence rapidement à ahaner. Ses râles sont étouffés. Je l’imagine en train de se faire prendre par un gaillard pendant que l’autre se fait sucer. C’est dur, mais je me branle quand même et je jouis envoyant ma semence sur ma porte. Vers minuit, ils se sont enfin arrêtés et je pensais enfin retrouver ma sérénité, mais rien à faire, j’ai trop d’images dans la tête. Une demi-heure plus tard, ils ont recommencé, dans la chambre cette fois et ne se sont arrêtés qu’une bonne heure après. Vers deux heures du matin, les deux hommes sont repartis. Collé au judas, je les ai vus partir en fanfaronnant. Isabelle était sur le pas de la porte, nue, les cheveux en bataille et visiblement à la fois fatiguée et heureuse. Ils l’ont embrassée une dernière fois, l’un lui pelotant les seins (magnifiques d’ailleurs) l’autre glissant sa main dans la toison pubienne, arrachant de nouveaux râles à Isabelle qui semblait vouloir encore s’abandonner dans leurs bras. Elle referme la porte, je vais me coucher et j’essaye de dormir mais ce n’est pas ...