Soirée de filles
Datte: 29/12/2017,
Catégories:
ffh,
amour,
init,
couple+f,
... souvent. Quel spectacle divin. Moi je ne fais pas partie prenante de leurs ébats. Je me caresse en faisant attention de ne pas trop insister. Je suis tendu au maximum, à faire mal. Si je me laissais aller, je les éclabousserais toutes les deux de mon sperme. Quand je vois que l’une ou l’autre est sur le point de jouir, je me permets une caresse bien sentie. Quand je vois que Sophie est sur le bord de la pâmoison je caresse fermement son sein, j’étire son mamelon en le tordant un peu. Elle me regarde alors d’un regard qui dit toute sa reconnaissance avant qu’elle convulse presque. Quand c’est Johanne qui est au bord de l’orgasme, je caresse discrètement son anus en le pressant un peu. Je sais que cette caresse amplifie de belle façon son orgasme. Alors que Sophie revient à peine d’un dernier spasme de plaisir, je suis à la tête du lit me caressant tout près du visage de Sophie quand elle regarde Johanne dans les yeux et lui dit : — Johanne, je veux son pénis en moi, je veux le pénis de ton amoureux au plus creux de mon vagin. C’est plus qu’une demande, c’est une supplique. Johanne me dit : — Viens Benoît. Je m’installe au-dessus de Sophie et c’est Johanne elle-même qui guide mon pénis et l’insère dans le vagin de Sophie. Comme elle est prête, comme elle mouille. Ça lui coule entre les fesses et à chaque coup que je donne, parfois tout en douceur, parfois quasi violemment, Sophie s’exclame : — Oui, c’est ça, oui, oui, encore. Je ne pourrai plus jamais m’en passer. Puis elle ...
... ne dit plus rien. Un long silence. Elle se cambre, serre très fort mon pénis en elle. Elle jouit pendant que j’éjacule en elle. Nous retombons ensemble. J’ai perdu la conscience des choses quelques instants. Johanne me caresse tendrement le bas du dos et les fesses. Après quelques instants je me relève, je regarde Johanne qui a les yeux plein d’eau. Oui, elle pleure. Nous avons eu une belle soirée, une très belle soirée. Je ne m’étais pas fait d’idées précises quant au déroulement de cette petite sauterie. Nous avons navigué avec le vent ; le voyage fut parfait. Il n’y a que les larmes de Johanne qui mettent une ombre au tableau. Il est temps que j’aille reconduire Sophie chez elle. En revenant je vais demander à Johanne la raison de ces larmes. Sophie demeure à environ dix minutes de chez nous. Tout le long du voyage elle me dit comme elle a aimé sa soirée : — Benoît, j’ai commencé à mouiller au restaurant quand j’ai remarqué que Johanne te caressait sous la table. J’imaginais le réveil de ton sexe, je le voyais quasiment. Et je n’ai pas arrêté de mouiller de toute la soirée… et je mouille encore de toutes ces images qui me reviennent en tête. Johanne a raison, vous êtes vraiment beaux vous deux. Il n’y a rien de plus beau qu’un couple en amour. Je vous regardais vous sourire, vous interroger du regard, toujours en connivence, toujours doux et délicat. Je vous aime. J’ai aimé cette soirée mais je ne vais pas recommencer. Ce soir je suis entrée dans un espace sacré, dans un ...