1. Quand la chair s'éveille (16)


    Datte: 29/12/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... mieux, tu peux avec le bout de la langue exciter l’extrémité de ma bite, essayer de l’introduire dans le trou qui est au sommet. Exactement c’est bien. Maintenant fais de même avec Alphar, je suis sûr qu’il va aimer. – Maintenant, il te reste ton dernier pucelage à prendre, mais d’abord, je laisse à Fujimi le soin de l’apprêter et ensuite Alphar le prendra, mais tu iras lentement et tu demandes si tu peux aller plus loin. Cela se fait en douceur. Fujimi ressort la pine d’Alphar de la bouche d’Alvira qui la lâche à regret pour l’enduire de vaseline et les doigts encore bien plein de ce corps gras, elle met un doigt, commence à remuer, puis un deuxième, puis un troisième, toujours en remuant lentement, finalement regardant la bite d’Alphar et en la comparant avec ces trois doigts, elle se dit que c’est bon, il devrait pouvoir s’enfiler. Quand Alvira, qui a trouvé la manière, plutôt assez ludique, de perdre le premier opercule, elle dit qu’on peut aussi faire la même chose pour la porte de service. – Mets-toi sur le dos, je vais moi m’enfiler à mon rythme. Obéissant Alphar se place sur le dos et Alvira accroupie en dessus de son épieu descend tranquillement son entrée arrière jusqu’à toucher le bout du gland, les poils poisseux caressant l’extrémité de l’épieu qui va la pourfendre, elle continue à descendre lentement et finalement se laisse tomber en s’enculant jusqu’aux dents. – Aïe, fait-elle en grinçant des dents, c’est pire que devant, mais maintenant que c’est dedans, tu ...
    ... as intérêt à durer et à me faire voir le 7ème ciel, comme Ramon me l’a fait devant. Ramon, sans complexe lui ajoute : – Tu sais, cela fait pas si longtemps qu’il a commencé, il faut être tolérante, au besoin, j’apporterai le complément nécessaire. – Non, tu me déchirerais le cul avec ton monstre antédiluvien et je ne pourrais plus chier longtemps. Il faut qu’il tienne ! À ce moment-là, Fujimi qui en connaissait un chapitre tire de sa boîte à malices, un cordon relativement élastique et le passe autour du pieu quand il ressort et serre en faisant un nœud. – Voilà, tu n’as plus de soucis à te faire, même s’il jouit, il restera dur jusqu’à ce qu’on défasse le nœud pour relâcher la pression. – Super, c’est vraiment trop bon, tu remplis comme il faut cet orifice et elle commence une cavalcade endiablée, montant et descendant comme un ressort affolé. Se couchant sur le dos, Fujimi écarte les cuisses : – Viens Ramon, ce spectacle m’a échauffé, j’ai besoin de ta lance pour calmer l’incendie qui ravage mon ventre. – Bien volontiers mon amour, répond-il en se souvenant des préférences de Fujimi, il se met à genou avant d’enfiler son dard dans celle anémone sauvage, fleur qui l’absorbe sans coup férir. Bien des coups de reins plus tard, les deux couples épuisés se reposent sur le dos, quand Fujimi a tout d’un coup une idée. – Il y a injustice, Ramon, tu as bien pu prendre son pucelage, mais moi, je n’ai même pas pu l’essayer, c’est tout ta mère qui en a profité. – Tu as vu dans quel état ...