Vu sur le net 2
Datte: 30/12/2017,
Catégories:
Gay
... pénétration.Max me pilonnait l'arrière train avec une frénésie incommensurable, chaque fois que son pénis raide se plantait au plus profond de mon cul en ébullition je hurlai de bonheur.Je ne savais plus depuis combien de temps Max me baisait, jamais je n'avais ressenti un tel plaisir au cours d'une enculade, j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon rectum.J'étais tel un pantin désarticulé sous mon amant, j'avais saisi mes jambes de mes mains et les écartai le plus possible tout en me cambrant pour m'offrir au maximum à celui qui me montait.Mon homme me dit 'Quelle putain tu es, regarde moi ça comment tu m'ouvres ton fion, vas-y écarte-toi bien que je démolisse ce trou du cul, ah salope, salope, cul à bite'.J'avais atteint la plénitude rectale, seul comptait pour moi cette fabuleuse pine qui m'ouvrait un peu plus la corolle chaque fois qu'elle se fichait au tréfonds de mes entrailles.J'avais perdu tout sens des réalités, je ne vivais plus que pour et par cette queue qui me ramonait le prose jusqu'à plus jouir.Dans la pièce, en dehors de mes halètements, on entendait le bruit de succion que faisait mon anneau chaque fois qu'il avalait le superbe priape.Je me tordais comme un damné sous les terribles coups de boutoir que je recevais, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passai.A cet instant s'enfonçant en moi jusqu'à la garde Max explosa en feulant, un abondant flot de semence ...
... crémeux m'inonda le fondement me provoquant un spasme foudroyant.Un orgasme dévastateur me balaya, mon corps s'arqua sous mon homme, je tendis ma croups vers le sexe qui coulait en moi pour augmenter la pénétration, un hurlement strident pulsa de ma gorge et je retombai lourdement sur le théâtre de nos ébats sombrant dans l'univers cotonneux de la jouissance.Je sentis mon mec se lever et je restai yeux clos, cuisses écartées savourant les dernières contractions de l'extase autour de ma corolle ravagée.Quand je rouvris les yeux, Max était assis en face de moi et me regardait, son pénis à demi flaccide reposait sur sa cuisses, il était maculé de sécrétions intimes, il me dit 'Ca y est enfin parmi nous.- Oui.- Eh bien ma salope, on peut dire que tu aimes la bite, plus je te bourrais plus tu en voulais.- C'est comme ça, j'aime me faire baiser.- Je m'en suis rendu compte.- Tu sais que tu m'as bien fait jouir.- Oui et ce n'est pas fini.- Je l'espère mais tu sais que tu m'as fait mal.- Et alors ça ne t'a pas empêché de prendre ton pied.- Non c'est vrai mais tu ne m'avais jamais traité comme ça.- C'est vrai mais aujourd'hui j'ai envie de te traiter comme une grosse pute que tu es et comme je viens de te le dire ça ne t'a pas empêché de prendre un bon fade. Tu crois pas que je n'ai pas vu comment tu écartais tes cuisses et comment tu tendais ton fion vers ma bite.- Tu as raison mais je ne comprends pourquoi tu es méchant avec moi.- Parce que tu es ma pute c'est tout et que j'ai envie ...