1. « NE M'OBLIGE PAS À TE VIOLER EN


    Datte: 30/12/2017, Catégories: Anal Gay

    ... ne voulais pas aller plus loin. Il s'est alors étalé de tout son corps sur le mien. Sa voix avait changé.- Tu bandes comme un taureau et tu me dis que t'as pas envie ? De toute façon, t'as pas trop le choix maintenant. Où tu te laisses faire ou je te la mets de force. A toi de choisir.Tout était confus. J'avais gardé sa queue dans ma main. Voyant que je ne bougeais pas, il s'est redressé et est venu s'asseoir sur mon torse, les jambes pliées sur mes bras, pour me mettre sa queue dans la bouche. Son gland dégageait une légère odeur épicée. J'ai commencé par passer ma langue dessus puis il a fait glisser son manche entre mes lèvres. Je pompais sa queue. J'étais très excité. La peur et le désir se confondaient. Mathieu me guidait, il me disait comment il aimait qu'on lui fasse les choses. Je l'écoutais et je m'efforçais de m'appliquer. Il s'est redressé et m'a demandé, pour ne pas dire ordonné, de m'allonger sur le ventre. Ce que je fis. Il s'est occupé de mon cul, le mouillant de salive, dardant sa langue à l'intérieur, enfonçant un premier doigt puis un second.Quand il m'a dit que j'allais être sa femme pour la nuit et qu'il allait me baiser et se vider les couilles dans mon trou, j'ai ressenti une très grande excitation. Je ne pouvais m'empêcher de dire non mais je savais que je voulais qu'il le fasse. Il allait m'enculer, et je me sentais prêt à recevoir sa grosse queue. Il m'a demandé de me placer à quatre pattes et il s'est posté, à genoux derrière moi. Il m'a encore ...
    ... léché l'anus, le lubrifiant abondamment. J'avais hâte de me faire sauter, de me faire élargir encore plus par sa belle bite, mais je manifestais pourtant un autre refus.- S'il te plait, non.- Je crois que t'as vraiment pas compris ce qui va se passer, mon gars. Je vais te baiser que tu le veuilles ou non. Y'a personne à des kilomètres alors laisse-toi faire. Tu vas être une bonne femelle. Tu vas prendre ma queue dans ton trou et tu vas la fermer, OK ?Je n'ai plus protesté. Il s'est amusé à glisser son gland dans ma raie avant de l'immobiliser sur ma pastille. Je n'ai pas pu m'empêcher de crier quand il a commencé à me forcer. Ça brûlait. Mathieu a attendu quelques secondes avant de s'introduire plus en avant. J'avais très mal, je pensais que je ne serais pas capable d'en supporter plus. Je lui ai demandé de se retirer mais Mathieu m'a répondu :- Aide-moi ! Ouvre-moi ton cul de salope si tu veux pas avoir mal !J'ai fait ce qu'il m'a demandé et il s'est enfoncé plus en avant. La sensation cuisante était toujours là mais Mathieu a réussi à m'emmancher complètement. Il ne s'est pas mis à bouger tout de suite. Il s'est penché sur moi, a glissé sa main entre mes cuisses et s'est mis à me branler. Le plaisir que me procuraient ses doigts m'a permis d'oublier aussitôt les premiers inconforts que je ressentais par derrière. Peu à peu, il a commencé à aller et venir. D'abord, avec douceur. Il a attendu que je gémisse pour m'enculer plus sèchement. Au bout d'un moment, il s'est complètement ...