1. COCU PENDANT LA LUNE DE MIEL


    Datte: 30/12/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... mon membre turgescent, caressant avec ses douces lèvres la tige, gobant la totalité de ma verge jusqu'à ce que son nez heurte mon pubis. Je n'avais jamais imaginé qu'un homme puisse sucer ma bite. Mais Robert était une sorte d'artiste dans son genre. Sa bouche d'avaleur de sabre était chaude et humide et ses mains étonnamment douces caressaient mes couilles et chatouillaient mon trou du cul avec une précision parfaite. J'ai passé le point de non retour pendant que Robert suçait ma bite. "Putain! Je vais jouir!" j'ai crié pour prévenir Robert. Mais il ne s'est pas retiré, avalant la crème chaude que je tirais dans la gorge gourmande de Robert. J'ai ré-ouvert les yeux. Carole était à quatre pattes sur le lit. Elle nous regardait, Robert et moi. Sa robe de mariée était enroulée autour de sa taille. Ses seins étaient sortis et pendaient sous elle. Byron, agenouillé derrière elle, poussait son énorme bite noire dans sa petite chatte offerte. "Vas-y! Baise-moi!" haleta ma femme en sentant le monstre s'enfoncer en écartant ses chairs. Robert s’assit tout contre moi sur le canapé pour regarder son mari baiser ma femme. Carole haletait, gémissait, jurait tandis que Byron la baisait fort et vite. Elle jouissait en le suppliant de ne jamais s'arrêter. Robert a guidé ma main vers sa petite bite bien dure. C'était étrange de le toucher mais il m'avait donné la meilleure fellation de ma vie alors je l'ai caressé. Byron a continué à baiser ma femme longtemps jusqu'à ce que la sueur ...
    ... recouvre leurs deux corps. J'ai perdu le compte de combien de fois elle a hurlé qu'elle jouissait quand il la baisait. Robert m'a attiré entre ses jambes. Je savais ce qu'il voulait. J'avais une sorte de dégoût mais, étonnamment, j'étais aussi excité. Je me suis agenouillé, nu entre ses jambes et j'ai léché sa petite bite dure. Je n'avais jamais soupçonné pouvoir le faire mais cet homme venait de me donner une fellation incroyable et j'étais à genoux entre ses jambes, léchant sa queue. "Suce-le!" m'encouragea Carole haletante tandis que Byron la prenait en levrette. Il l'avait faite pivoter sur le lit pour qu'elle ne perde pas une miette du spectacle, son mari suçant son mari! J'ai lentement gobé son gland. Il rentre facilement dans ma bouche. Je continue plus profond. Ce n'est pas désagréable. Je suce et aspire sa queue. Dans ma gorge, son gland déclenche un réflexe de répulsion. Je ressort, reprends mon souffle, et j'y retourne, les yeux pleins de larmes. Carole m'encourage: "Vas-y! Prends tout!" Je force le passage en déglutissant, Robert appuie ses deux mains sur ma nuque, ça y est, j'ai le nez écrasé contre son pubis. Robert me maintient en place, me retenant la tête contre son aine, puis me relâche. Je suis à bout de souffle. Je continue à le pomper comme il l'a fait pour moi, suçant, léchant tout en lui caressant les couilles. La respiration de Robert est haletante et je sens ses couilles se durcir. Je comprends qu'il va jouir mais je ne sais pas quoi faire. Avant que puisse ...