Femmes
Datte: 05/07/2017,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
hbi,
jeunes,
campagne,
amour,
... l’exception d’une ouverture au niveau de l’entrée de son vagin. Ces gens ne copulent que dans le but de se reproduire. Or, ici, même si Annie m’en montrait un peu plus, l’attitude n’avait rien d’érotique. Je devais copuler dans le seul but de la reproduction ; ce qui ne m’était jamais arrivé. Je ne tenais pas une forme extraordinaire et mon sexe avait du mal à se tendre ; il était juste gonflé. Même ma pratique du yoga qui me permettait d’influer sur mon état physique n’était d’aucun secours. — Je m’attendais à plus de vigueur chez un bisexuel comme toi.— Je crois que c’est la situation plutôt étrange qui me fait perdre mes moyens.— Je ne t’excite pas assez ?— Tu es magnifique, et si je devais te faire l’amour, je crois que mon sexe serait bien tendu. Mais là, la mission n’est pas si facile que cela : m’introduire dans le sexe d’une fille sans la faire jouir pour y déposer ma semence.— Viens, je vais essayer d’arranger cela. Sans fausse pudeur ni aucune gêne, elle prit ma queue du bout des doigts et commença à la masturber avec délicatesse et tendresse. J’ai tout de suite apprécié ses gestes. J’aurais bien voulu moi aussi la caresser, cependant je sentais bien que la jeune femme ne serait pas disposée à recevoir mes attouchements. Tout en s’occupant de mon membre, elle me parlait : — Je te conjure de faire au plus vite pour éjaculer en moi. Je ne te demande pas de tenir un record de longévité avant de partir. Non, c’est tout de contraire : plus ce sera rapide et ...
... vite fait, mieux ce sera.— Tu vas me faire une réputation d’éjaculateur précoce.— Non, certainement pas. D’ailleurs, si je t’ai choisi, c’est en partie pour ta discrétion. Je te connais assez pour savoir que tu n’iras pas crier sur tous les toits « J’ai baisé avec une gouine ! » Quant à moi, je n’irai pas dire – pas même à Gérard ou à Colette – que tu as giclé en un temps record. Voilà une queue bien dressée à présent, prête au travail. Je me branlai vigoureusement avant de la pénétrer doucement. Elle ne bougeait pratiquement pas. Ne pouvant compter que sur moi pour faire monter ma sève, je fis aller et venir mon sexe dans son vagin. Je sentis en moi ma liqueur venir alors que cela faisait moins de deux minutes que je la chevauchais. Dans toute autre situation, j’aurais refoulé cette jouissance précipitée, mais là je n’en fis rien. Je m’enfonçai au maximum dans son vagin et je déposai mon sperme dans sa matrice, puis me retirai. Elle ne perdit pas de temps. Elle se leva, se rhabilla alors que je restais allongé sur le dos, la queue pantelante. Elle vint me déposer un chaste bisou sur la joue en me disant : — Merci, j’espère que ça va marcher. Cela a été moins déplaisant que je ne le redoutais, finalement.— Si tu m’avais laissé faire, tu aurais même pu éprouver du plaisir… En tout cas, j’aurais tout fait pour.— Mon but n’était pas de prendre du plaisir avec un homme ou d’essayer pour voir comment ça fait lorsqu’il s’y prend bien, comme c’est ton cas à ce qu’on m’a dit. ...