A comme...
Datte: 30/12/2017,
Catégories:
Hardcore,
Lesbienne
Partouze / Groupe
... une merveilleuse flamme…- Je t’aime, je suis tienne, pardon pour mes extras…- Je t’aime, je suis fou, je viens de voir la grange, s’ouvrir et se parer de fleurs.- Tu sais, nous allons évoluer vers d’autres horizons, des deals professionnels, des choix difficiles. Mais gardons à l’esprit que nous sommes d’abord un couple originel, que nous avons appris l’amour dans nos corps, cet amour qui nous lie, au fond de nos âmes.- Je sais, il sera toujours plus fort quel que soit le présent. Si d’autres amours doivent nous emporter, s’ils doivent se faire coquins, lesbiens, libertins, ou par nécessité, entre d’autres bras, d’autres sexes, pour nous réconforter d’un amour trop physique, ce sera dans tes bras que je viendrai toujours le rechercher…Je pardonnais, il ne demanda rien, compris quand elle descendit avec Pierre…- Sophie, bonjour, belle matinée, Pierre a bien dormi, je l’ai embrassé cette nuit. La maison était calme, il faudra que l’on parle, mon avenir va changer, nous aurons besoin de quelqu’un à plein temps, pour élever Pierre et gérer la maison…Plus tard, seule à seule, je lui dis mon amour pour mon fils, pour Alain, que moi aussi je n’étais pas toute blanche, le corps a ses besoins que la raison ignore…J’allais partir souvent, me déplacer sans cesse, rester plusieurs semaines sans pouvoir revenir…Elle ouvrit les yeux, s’attendant au pire, à perdre cet enfant avec lequel elle avait tant partagé, d’amour, de soucis, de veilles, de câlins…J’ajoutais que j’avais confiance en ...
... elle et que si parfois, elle avait l’impression de me trahir, il n’en était rien, car vivre en harmonie est ma priorité.Du moment que cela ne rejaillissait pas sur d’autres plans, que cela restait discret, elle resterait la jeune fille que j’ai connu, et la femme qu’elle était devenue, et qui de ce fait attirait les instincts…- Je… Je suis navrée… On… Il… Plutôt c’est moi… En déshabillé, à moitié endormie, Pierre qui pleurait au milieu de la nuit, nous nous sommes trouvés tous les deux penchés sur son lit… Quand il s’est rendormi, le sexe a fait le reste…Je n’ai pas de copain, mais je prends la pilule,Et on a fait l’amour sans l’ombre d’un calcul…Ses larmes coulent, elle se sent en faute… De quoi ?Elle vient d’avouer, et je comprends Alain, un morceau de choix, la courbe de ses seins, le déshabillé qui s’ouvre, et les met à portée… Le silence de la chambre, leurs regards indécis… Leurs lèvres qui se rapprochent, personne ne dit oui…Puis leurs sens se réveillent, et c’est une déferlante, un réel corps à corps, qui vous poussent dans ta chambre…Et c’est le paradis, une véritable nuit, ta première sans doute, avec un homme marié et expérimenté qui t’emporte dans son monde…Je la prends dans mes bras…- Lorsque je suis entrée, je vous ai vus… Toi offerte, endormie, magique de beauté, d’indécence, tes vêtements épars, les siens, comme jetés…J’imaginais la scène dans les escaliers…Vous respiriez l’amour, celui de votre étreinte, celui que l’on ne fait que dans certains moments, une ...