La perruque ensorcelée (Ep 1)
Datte: 05/07/2017,
Catégories:
Anal
Gay
Transexuels
1.- Bien joué Marc !- Oui, super reportage !Je remerciais mes collègues, nous vidâmes nos verres et chacun partit vers chez lui… une semaine qui se finissait normalement pour moi, reporter vedette pour la chaîne locale. J’étais arrivé avant nos rivaux de la chaîne privée, et avait eu le meilleur du reportage. Mon cameraman et mon producteur venait de fêter cela avec moi, avant de me donner mon weekend. Pour ranger la maison. Un soupir s’échappa de ma bouche. La maison où j’étais seul. Tout seul. Ma femme m’avait quitté en début de mois, et préparait la procédure de divorce. Et c’était ma faute. Je l’ai trop négligée, et depuis ce reportage en Thaïlande… Là-bas je couvrais la réunion annuelle du 3ème genre, les transsexuelles, garçon féminisé, etc. Et je suis tombé sous le charme d’une fille superbe, qui avait de petits seins ronds et un sexe quasi aussi gros que le mien ! Quelle passion, quelle nuit de folie ! Depuis mon retour de ce reportage, la relation avec mon épouse s'est détériorée, jusqu’à ce qu’elle découvre les sites que je regardais sur internet, toutes ces images de transsexuelles, de femmes avec des pénis… ça a été un choc pour elle. La semaine d’après elle retournait chez sa mère. Avant que je reçoive sa lettre, remplie de mépris et de dégoût, où elle m’indiquait vouloir divorcer d’un pervers comme moi.J’entrais dans ma maison, bien vide. Je comptais emménager dans un appartement au centre-ville, un meublé, plus pratique et moins grand pour moi tout seul. ...
... C’était mes derniers jours dans cette maison. Les meubles avaient déjà été vendus, il ne me restait que le strict nécessaire. Ma femme était passée, je vis qu’elle avait pris le reste de ses affaires. Elle passait toujours quand je n’étais pas là, même me voir semblait trop dur pour elle.Je soupais rapidement, un plat tout fait avec un ou deux verres de vin. Puis je montais à l’étage, dans ce qui avait été notre chambre conjugale. Elle était vide. Je poussais encore un soupir, et allais retourner vers le rez-de-chaussée, où j’avais installé un « lit de campagne » pour les quelques jours qui me restaient ici, quand je vis une ou deux caisses en carton qui traînaient dans la pièce. Étrange, car elles ne me semblaient pas être là la veille. J’ouvris la première caisse, il y avait des sous-vêtements féminins, assez coquins, ceux que ma femme mettait au début de notre mariage. Y’avait un petit temps qu’elle ne les avait plus mis. Sans doute n’en voulait-elle plus, pour cela qu’elle avait laissé tout ça ici. Je pris la seconde caisse en carton, plus petite, style broîte à chaussure. Un post-it était accroché sur la caisse. Avec juste un mot. « Salaud ». Super ! Qu’allais-je trouver, un serpent, un scorpion, une broîte piégé explosive ???Je secouais la caisse, qui semblait légère. Aucun bruit, rien qui ne bouge ou ne semble vivant à l’intérieur. Pendant un instant, j’hésitais à l’ouvrir. Putain, Marc ! T’es un homme, tu vas quand même pas avoir peur du mot « salaud » ! J’ouvris donc la ...