Vacances en camping car (6)
Datte: 31/12/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... Marion se trouve donc complètement nue à côté de Priscilla, et cette dernière a toujours une main qui s’active sur son sexe qui est ruisselant de mouille. Après l’avoir tripoté dans tous les sens, Priscilla lui glisse deux doigts dans la fente, et se met à la doigter à toute vitesse, avant que l’annulaire ne s’invite à la partie. Marion continue de se cambrer et a du mal à se retenir de gémir, surtout que, tout en la branlant énergiquement, Priscilla continue également de jouer avec sa poitrine. — Tu veux que je te bouffe ? Propose Priscilla. — Oui, vas... vas-y, répond Marion. — OK... Aussitôt, Priscilla sort ses deux longues jambes de son duvet, laissant en même temps apparaître un shorty noir en dentelles. Sa bouche descend ensuite de la poitrine de Marion à son nombril, puis rapidement à son sexe qu’elle se met aussitôt à lécher goulûment, tout en jouant avec son clito du bout du doigt. Cette fois-ci, c’en est trop pour Marion qui ne peut se retenir de gémir de plaisir, tout en se cambrant. Apparemment, Priscilla semble savoir y faire avec les femmes. — Alors, ma chérie, ça te plaît ce que je te fais ? Demande cette dernière entre deux coups de langue. — Oh que oui... — A mon avis, ton frangin aussi apprécie le spectacle, vu la bosse qui déforme son short. Je suis aussitôt gêné par cette remarque. — Désolé, dis-je, c’est juste que... — T’excuse pas, me répond Priscilla, tout en continuant à tripoter le clito de Marion, c’est normal ! Elle se tourne ensuite vers cette ...
... dernière, puis. — Peut-être qu’on pourrait le laisser participer, non ? — Non, répond aussitôt Marion. Que toi... et... et moi ! — OK, désolé, frangin ! Sur ce, Priscilla se jette à nouveau sur le sexe de Marion qu’elle bouffe en long, en large et en travers, tout en la doigtant de deux doigts. Le drap qui recouvre le matelas gonflable est trempé de mouille, et le visage de ma sœur est ruisselant de sueur. En même temps, vu le spectacle qui s’offre actuellement à mes yeux, j’ai l’impression qu’il fait quarante degrés dans la tente, donc c’est guère étonnant. — Branle-toi ! Cet ordre vient de Marion, et Priscilla a l’air surprise de l’entendre. — Comment veux-tu que je me branle alors que je suis déjà en train de te branler, ma chérie ? — Je parle... je parle à... Quentin ! Répond Marion, le souffle saccadé. Priscilla se tourne aussitôt vers moi. — T’as entendu ta sœur ? T’as le feu vert pour te palucher, si tu veux ! Une fois de plus, je reste sans voix, et je ne sais comment réagir face à cette injonction. En même temps, je serais gêné de faire ça devant ces deux nanas, mais de l’autre côté, comme j’ai la bite qui doit ressembler à un barreau de chaise, j’avoue que me soulager me ferait le plus grand bien. En plus, étant donné les circonstances, il n’y avait pas grand-chose de normal, ni d’habituel dans tout ça, donc pourquoi devrais-je m’efforcer à l’être ? Après quelques secondes, ma décision est prise : je défais aussitôt ma ceinture, baisse mon short et mon boxer, puis, je ...