1. Vacances en camping car (6)


    Datte: 31/12/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... elle le happa rapidement du bout de la langue, ce qui eut pour effet immédiat de m’électriser tout le corps. Une fois que ce fut terminé, je me laissai tomber par terre, épuisé par toutes ces émotions, tandis que Marion se relevait également. — Hop hop hop, tu vas où, ma jolie ? Demande Priscilla. — On a fini, non ? — Ton frère a fini, mais pas toi, regarde ! Elle montra à Marion le sperme qui lui maculait le bas-ventre. — Tu peux me nettoyer tout ça, s’il te plaît ? Demanda Priscilla. Aussitôt dit, aussitôt fait, Marion se rua à nouveau sur Priscilla puis, elle l’embrassa langoureusement sur la bouche, comme pour la remercier, avant de lui nettoyer le ventre et toute la semence à grands coups de langue. Elle n’en laissa pas une miette et, une fois qu’elle eut terminé, elle embrassa à nouveau Priscilla, comme si elle voulait partager le butin avec elle, chose qui n’eut pas l’air de la dégoûter. — Merci, ma chérie... — Non, merci à toi, pour tout ! C’était... wahou ! — Oh tu sais, si je peux rendre service... Marion et moi, nous nous rhabillons, silencieusement puis, une fois terminé, nous constatons que Priscilla, elle, est toujours nue sur son duvet, comme si elle était prête à remettre le couvercle dans les minutes à venir. — Et toi, le frangin, pas trop frustré de ne pas avoir pu participer davantage ? Demande Priscilla. — Si, un peu, mais... c’était mieux que rien ! — En tout cas, dommage que vous partiez bientôt, sinon, je suis sûre qu’on aurait encore pu s’amuser, ...
    ... tous les trois, dit-elle, d’un air déçu. — Il y a des chances, oui, répondit Marion. Un nouveau silence s’installa puis Marion reprit la parole. — Bon, on y va ? ¤¤¤ Après avoir salué Priscilla, Marion et moi, nous quittons la tente. Dehors, la température est fraîche, et cela nous fait du bien, surtout après ce que nous venons de vivre. Sur le chemin du retour, Marion ne dit rien, comme si elle était gênée par tout ça et, plutôt que de laisser ce malaise s’installer, je me décide à prendre la parole. — Tu m’expliques ? — Je t’explique quoi ? — Pourquoi t’as fait ça ? — C’est pourtant clair, non ? J’avais juste envie de baiser ! — Pourquoi ne pas avoir essayé de faire ça avec un gars, dans ce cas ? — Parce que c’est toi que je veux, et pas un autre ! Du coup tout à l’heure, quand je suis sortie de table, j’avais un but précis : trouver quelqu’un avec qui baiser et, en voyant Priscilla à la fête du camping, ça a fait « tilt ! » dans ma tête... — Tu lui as dit quoi ? Salut, je m’appelle Priscilla, et j’ai très envie de baiser avec toi ? — Mais non, crétin ! J’ai d’abord fait connaissance avec elle pendant quelques minutes, ensuite je suis allée acheter une bouteille à la supérette du village, on a bu deux ou trois verres devant sa tente, ça nous a décoincées, on s’est mis à parler de cul et, la suite, tu la connais... — Je vois... Nous continuons de marcher à petits pas, comme si nous n’avions pas envie de retrouver tout de suite les parents. — Pourquoi tu n’as pas voulu que je ...