1. LA MANTE RELIGIEUSE. (6/14)


    Datte: 31/12/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... réussi à lui faire croire et après avoir accouché d’un garçon légèrement prématuré du moins c’est ce que là encore ils ont cru j’ai été tranquille. Pendant un grand moment j’ai continué indirectement à être encore la pute de mon beau-père voyant Hubert tombé de plus en plus dans sa bouteille. C’est après la mort d’Achille que le mari de Denise notre voisin est devenu mon amant. Les notes s’arrêtent là confirmant que ma belle-mère a été ce qu’Antoine m’a avoué avant sa mort. C’est à ce moment que j’ai entendu une voiture arriver et la voix d’Henri hurler. • Jules elle est ou la pute que je la massacre, son témoignage a failli me faire envoyer au trou et je suis libre grâce au cousin jusqu’à ce qu’ils reçoivent le rapport sur l’analyse de la voiture. • Elle s’est enfermée dans la chambre des parents. • Sors salope, je vais te faire voir si je suis sorti par l’arrière de la voiture d’Antoine. C’est ton arrière à toi qui va ramasser espèce de chienne. • Hubert calme toi, j’ai besoin de la faucheuse à Maïs demain de bonne heure car ils annoncent des orages et nous risquons de perdre la récolte. • Tu as raison, la porte est trop épaisse et elle est à l’abri pour le moment mais il faudra bien qu’elle sorte, je vais aller finir la soudure à l’intérieur de la machine cela me calmera. Tu auras ta faucheuse demain matin bonne nuit. Il est plus de minuit quand j’ouvre la porte de la chambre et que sur la pointe des pieds je descends l’escalier. Dès que je suis dehors je vais comme une ...
    ... ombre vers le hangar et je monte dans la cabine de commande de la moissonneuse la porte étant ouverte. Henri est de dos avec son chalumeau et ses lunettes de protection qui soudent la pièce cassée sans me voir Enlevé le système qui interdit de démarrer la machine se fait sans bruit mais quand j’appuie sur le démarreur lançant le moteur, il se retourne et nos regards se croisent après avoir relevé ses lunettes de soudeur. Le regard de panique qu’il me lance sachant trop bien ce qui va lui arriver quand je démarre la coupe. La machine qui le broie l’entraînant à l’intérieur avec son matériel de soudure met quelques secondes à réaliser son travail et sans aucun remords je retourne m’enfermer dans la chambre de mes beaux-parents. Je dors du sommeil de celle qui est contente du travail accompli quand j’entends du bruit dans les escaliers avant de voir par la fenêtre les jumeaux aller vers le hangar. Ils ressortent en courant lorsque trois voitures de gendarmes entrent dans la cour. Les deux frères courent vers eux et tout ce petit monde court vers la tombe d’Henri. Étant rassuré de leur présence et n’ayant aucun motif à ce moment de me cacher je les rejoins. Quel plaisir de voir le mur tout rouge du sang de celui qui a cru me baiser impunément comme l’avait fait son frère. C’est le système de rejet des fanes de maïs qui a projeté Henri sur les murs. • Madame sortez, ces horribles à voir, une vraie boucherie, je pense qu’il se savait coupable du meurtre de son frère et qu’il s’est ...