1. Le hasard du tchat (4)


    Datte: 01/01/2018, Catégories: Trash,

    ... se retrouver dans son corps, il m’avait manqué. Sentir son vagin autour de ma bite est une sensation géniale. L’homme en face de moi a un large sourire. Il apprécie ce moment et ça se voit, car il est de nouveau en totale érection. — " Alex, allonge-toi, toi enjambe-le !" Je me retire donc pour m’allonger sur le dos pendant que je vois cette femme passer ses jambes de chaque côté de mon corps, pour approcher doucement sa vulve de mon chibre, qui n’attend que de retrouver son fourreau dans lequel il est si bien. Je rentre de nouveau en elle, plus doucement cette fois car c’est elle qui gère la pénétration. La sensation est toujours aussi exquise. Elle commence ses mouvements de plaisir. Ses va-et-vient et cette vue d’elle empalée sur moi me font aimer ce moment. Le proviseur qui jusqu’ici regardait la scène, se lève, le sexe bien raide à la main, se met dans le dos de ma mère, appuie pour la pencher vers moi. Ses seins et son visage se rapprochent de moi, mais ça lui donne aussi une superbe courbure et surtout une ouverture totale sur le cul de ma mère. Le regard de ma mère croise le mien et tous les deux nous savons ce qui va se passer. Il crache vulgairement sur son petit trou et pousse sans s’arrêter jusqu’à la garde. Vu notre position, je ne peux plus bouger sinon mon sexe va péter. Lui par contre fait son affaire dans le cul de ma mère pendant qu’elle ne lâche pas mes ...
    ... yeux. Après quelques minutes, il pousse un cri et envahit son cul de tout le sperme qui lui restait. D’un trait il se retire, me permettant à nouveau de bouger. Et sans aucun ordre de sa part, comme s’il n’était finalement pas là, je glisse ma main dans le dos de ma mère puis la tourne pour qu’elle se retrouve dos au sol. Nous nous retrouvons en missionnaire. Je reprends mes va-et-vient sans lâcher son regard, qu’elle soutient. Elle sent que je vais jouir et sans un mot échangé, me laisse finir. Dans un moment de libération, de soulagement et d’extase total, je libère des semaines d’envie en elle. Je sens une quantité énorme de sperme l’envahir. Comment puis-je en avoir autant, c’est fou. Ca coule, encore et encore... Toutes les tensions se relâchent. Les corps aussi. Je m’effondre sur elle. Elle semble épuisée. Tandis que je finis par me retirer, je me rends compte qu’il a regardé la scène avec beaucoup d’attention. Sans rien dire il se rhabille, passe à côté de moi, et me dit pour simple au revoir : — "On se voit demain dans mon bureau, et n’oublie pas...", puis il claque la porte. Je me retourne vers ma mère qui se relève. A chaque mouvement qu’elle fait, je vois le sperme couler d’entre ses cuisses. Elle passe à côté de moi et alors que je vais pour lui demander si ça va, elle pose sa main sur ma joue en me disant "on en parlera demain". Puis elle monte vers la salle de bain. 
«12345»