Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà (28)
Datte: 01/01/2018,
Catégories:
Divers,
... presque 17h50, quand la douane est franchie. « Si on s’arrêtait un peu ? De toute façon, mes parents et ma sœur travaillent jusqu’à 22 heures! Et nous n’avons pas la clé pour entrer ! Tiens, il y a un buffet, juste là ! » me dit-elle en désignant une enseigne. « Tu tiens à montrer ta tenue coquine, n’est-ce pas ? Au restaurant, le garçon lorgnait ton décolleté, chaque fois qu’il le pouvait ! Tu n’as pas honte d’exciter les gens comme ça ? » Je lui dis cela, sur le ton d’une ironie plaisante. Elle me répond, sur le même ton : « Tu sais, chéri, j’ai pris goût à me montrer dans de telles tenues ... et comme je vois que ça t’excite, j’ai encore plus envie de me montrer ! » « Eh bien, ça promet ! » dis-je, alors que nous nous dirigeons vers le buffet. Il fonctionne en libre-service. Au moment de se retrouver à la caisse, tandis que je paie, Eva se penche un peu, et la caissière ne peut que voir le creux de ses seins, largement étalé. Elle a un petit sourire complice. Nous nous installons à une table. Et tandis que nous mangeons, sans nous presser : « Tu es adorable, tu sais ? Tu es même excitante ! Je vois que tu plais autant aux hommes qu’aux femmes... » « Et toi, tu as fait ce qu’il fallait pour que je sois ainsi, n’est-ce pas ? » Elle me sourit, tandis que je sens sa main gauche se poser sur ma cuisse. « Je te fais bander, mon chéri ? » susurre-t-elle tandis que ses doigts effleurent ma braguette. Nous sommes installés, côte à côte sur une banquette, dans un angle de la ...
... salle. La table est censée cacher nos gestes, mais jusqu’à quel point ... ? « Tu aimes voir mes jolies cuisses, comme tu dis ? » elle prend ma main droite et la pose sur sa cuisse, tandis qu’elle palpe ma braguette avec sa main gauche. Je bande sérieusement. Nous nous tripotons comme cela un moment. « Cela te plaît, chéri ? Comme au restaurant à Prague, tu te souviens ? » elle me sourit. Puis je commence à lui palper la vulve à travers le short. « Calme-toi un peu ! Tu vas me faire mouiller et tu sais que je n’ai pas de culotte ! » dit-elle en plaisantant. Finalement, elle regarde sa montre : 18h20 : « On y va ? ». Nous nous levons et reprenons la route. Nous arrivons à l’entrée de Brno vers 20h30. Il fait déjà nuit. Encore 50 kilomètres à faire, et il est 21h40, quand nous garons devant la maison. « Bien ! Nous allons les attendre ! Ils devraient être là dans une demi-heure ! » « Tu vas te présenter ainsi habillée ? » Elle me regarde, l’air faussement étonné : « Pourquoi, je ne devrais pas ? Mes parents ne diront rien ! Je suis majeure, non ? Tu te fais du souci pour moi ? » Et comme je la regarde intensément : « Je te plais, n’est-ce pas ? Et même je t’excite, non ? » Elle me palpe la braguette : « Hmmm ! Tu bandes pour moi, on dirait ? Mais, on verra plus tard ! Pour le moment, reste tranquille ! » Un instant de silence, puis on entend des voix. Trois silhouettes débouchent d’une rue adjacente. Les voilà ! Les retrouvailles sont joyeuses, mais vu l’heure, on ne s’attarde pas. ...