Clotaire et Pierre - Sixième épisode
Datte: 01/01/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... finissait-il par le lasser ; peut-être avait-il envie d’autre chose… Finalement, cela n’importe que peu. Tout cela ne devait être que l’introduction. Progressivement, les mouvements de bassin de Clotaire étaient plus énergiques, plus pressés à meure que son partenaire en voulait plus. « Encore… Putain, vas-y, ce que c’est bon… Prends-moi » ; tels étaient les encouragements adressés à Clotaire par Pierre qui se branlait pendant que son amant se plaisait à le prendre, les mains fermement posées sur les hanches de son amoureux. Clotaire était tout à son œuvre. Il ne fit pas la moindre pause, aussi courte pouvait-elle être. Il semblait être saisi d’une certaine frénésie car pas un seul instant il ne paraissait envisager d’interrompre ses va-et-vient de plus en plus réguliers, de plus en plus intenses. Ses bourses se cognaient contre le cul de son complice qui dut plonger sa tête dans un oreiller sous la pression de Clotaire car il n’était plus question de gémissements mais de cris de plus en plus aigus provenant de la bouche de Pierre qui devait atteindre le septième ciel… Lui-même ne voulait pas que cela s’arrête ; il aimait beaucoup sentir en lui la bite de Clotaire et bien que cela fut toujours un peu douloureux tant elle était large et longue, il lui fallait peu de temps pour qu’il passe du mal au plaisir. Après de longues minutes passées à combler le cul de son amant, Clotaire enleva sa queue pour s’allonger sur le lit, juste à côté de Pierre qui, demeurant à quatre pattes, ...
... se plaça juste au-dessus de lui pour l’embrasser amoureusement. Les mains de Clotaire allaient de nouveau parcourir tout le corps de son compagnon, de sa tête jusqu’à ses fesses en passant par son dos ; en retour, Pierre faisait bouger délicatement son corps en prenant de soin de lier son sexe à celui de Clotaire, les deux tous les deux érigés et liés par ce câlin qui n’en finissait pas. Parfois, Pierre guidait sa main vers l’engin de Clotaire pour le masturber, lequel tâchait de faire de même. Ils se branlaient mutuellement tout en se regardant avec passion, tout sourire, heureux de vivre pareil instant. Au fond, c’était peut-être leur premier rapport sexuel vraiment « intime » : pour la première fois, cela se passait dans une chambre ; pour la première fois, Clotaire ne semblait pas dominer le jeu préférant se laisser aller tout comme son partenaire ; pour la première fois, le plaisir sexuel était décuplé par l’amour que l’un éprouvait pour l’autre. Ils ne se connaissaient que depuis trois jours, mais ils avaient le sentiment de se connaitre depuis déjà bien longtemps ; un peu comme s’ils attendaient depuis des mois, sinon des années, de faire connaissance avec l’être qu’ils attendaient plus que tout au monde. Les deux rêvaient, depuis des mois, de vivre la soirée magique qu’ils vivaient alors. C’était le cas ; c’est pourquoi ils étaient simplement heureux. Clotaire, qui prenait son amant dans ses bras, tous les deux allongés sur le lit, s’attardait à caresser les cheveux ...