1. Ma tante de 45 ans est sublime (9)


    Datte: 17/06/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... fallut bien goûter à ce délicieux plat. Je ne m’en privai guère. Ma langue s’approcha rapidement pour venir se coller contre son sexe. Je restai dans cette position tout en la regardant. Les yeux brillants de Chantal m’excitèrent au plus haut point. Elle écarta ses jambes gracieuse pour m’offrir une nouvelle fois la partie intime de son corps. Je la pénétrai à nouveau, ma verge s’enfouit dans son intimité accueillante. Nulle précaution pour la saisir, elle aima cette introduction à la fois délicate et brutale. Évidemment, je saisis ses pieds désirables pour les porter à mes lèvres. Chantal gémit, j’émis de longs râles. Je lâchai ses orteils rêvés pour m’allonger sur son corps brûlant. Nos lèvres s’accordèrent pour amorcer une cantate passionnée. Je sentis Chantal se contracter, ses lèvres se dégagèrent, nous fûmes joue contre joue. Je ressentis son souffle haletant. Ma tante était en plein orgasme. Pour me joindre à sa tourmente, j’accentuai mon rythme qui devint infernal. Je devins une machine du sexe, plus je pilonnai ma tante, plus ce fut jouissif pour elle. J’étais nu sur Chantal et pourtant un habit de paillettes plus connu sous le nom d’habit de lumières revêtit mon corps. Au grand plaisir de ma dulcinée, je devins un matador combattant dans l’arène des cuisses de ma chère tante. La corrida battait son plein. La foule qui me serrait avec ses jambes de satin était en délire. La mise à mort fut une évidence. Il me fallut choisir le bon moment pour porter mon estocade. ...
    ... Dépourvu de toute étoffe rouge sang en guise de leurre, je ralentis la cadence afin de tromper la belle. Je sentis son orgasme s’estompé, ma tante approchant naïvement ses lèvres. Contre toute attente, je portai mon estoc devant ce corps relâché. Sublime combattante et devant mes coups effrénés, la belle, dans un ultime sursaut me serra toute entière, me griffa dans ma chair. Je transperçai le corps ruisselant de ma belle adversaire et mon sexe, telle une épée exécuta la mise à mort. Un hurlement ostentatoire de la foule se fit naître. J’avais sa mort entre mes bras. Mon habit de lumières s’échappa pour succomber à mon tour. Nous restâmes l’un sur l’autre, l’un dans l’autre. Je fis quelques baisers dans le cou de ma tante, elle en frissonna de plaisir, plaisir qui malgré tout s’estompa. — Oh ma Chantal... — Oui je sais Jean, c’est merveilleux entre nous. Je gardai Chantal dans mes bras. Nous nous caressâmes mutuellement, pour mieux savourer cet instant. Il fut 19h, nous nous préparâmes pour le vernissage. Ma tante mît une robe noire très élégante. Je lui demandai de ne pas mettre de culotte. Elle accepta. Nous arrivâmes, tel un couple. Je fus fier d’être avec ma tante. Je pus observer qu’elle avait un succès certain avec la gente masculine. Nous primes une coupe et observèrent les différentes toiles. Je regardai l’heure... Ma tante s’adressa à moi. — Jean, on va peut-être y aller ? — Volontiers Chantal. Au retour, j’invitai ma tante dans un petit resto. Elle en fut très touchée. ...
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