Ma tante de 45 ans est sublime (9)
Datte: 17/06/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... provoqua une réaction chez ma tante. — Mais dis donc, tu tiens la grande forme mon neveu ? — Oui ma tante chérie et si tu veux dire bonsoir à ton bébé... — Oh je vais le câliner, je l’aime tant ! Chantal vint s’allonger au bas du lit, puis telle une panthère, elle remonta à hauteur de mon sexe. Elle aimait faire la cochonne comme elle dit. Elle dandina son beau derrière puis me fixa avec ses yeux bleus. Elle tira sa langue recouverte de salive pour s’acoquiner avec le bout de mon gland. Puis ma tante déplia ses lèvres somptueuses qui vinrent absorber ma verge. Un ange passa, je me crus au ciel. Voir les lèvres de ma tante glisser le long de ma verge me procurèrent une sorte d’hallucination. Voir la petite sœur de ma mère en train de me sucer fit place à un véritable enchantement, une sorte de fascination s’empara de moi en regardant Chantal. Sa bouche toute entière avalât mon sexe profondément. Je me crus en plein délire et pourtant, ce fut bien ma tante devant moi, me faisant une fellation royale. Je fis comprendre à Chantal qu’à force d’insister, le plein d’émotion allait bon chemin. Ma tante continua sans se préoccuper de mes maigres recommandations. Elle garda le rythme de sa partition improvisée. Rythme lent donc savoureux à souhait. J’aimai voir ma tante quand elle me suce en douceur, elle donnait l’image de déguster ma verge, de savourer mon sexe dans la ferveur de sa bouche sensuelle au diable. Cette sensation exquise de ressentir et de voir ses lèvres au contact de ...
... ma verge fut sans équivalent ce soir-là. Chantal exauça mon vœu quand toutes ces visions se mélangèrent dans ma tête. Ses yeux clairs, ses lèvres divines, sa langue coquine... s’en fut trop. Sa technique fut imparable. Elle goba mon sexe, elle le suça en l’aspirant jusqu’à se creuser les joues, puis le relâcha pour à nouveau l’aspirer. Je fus noyé par les sentiments, par la chaleur de sa bouche. J’inondai son palais tandis que ma tante continua tout en avalant le fruit de sa récolte. Chantal n’en laissa pas une goutte. Plusieurs secousses me firent chavirer, je fus comme transporté hors de moi. Mon âme se détacha, preuve que je fus dans la dernière phase, une sensation d’euphorie générale. Ma tante me regarda épuisée tout comme moi. Elle fut ravie du plaisir qu’elle avait généré à son neveu. — Chantal, tu restes la reine des suceuses. — Jean je t’en prie, je reste ta tante. — Alors la petite sœur de ma mère me suce amoureusement ! — Je préfère le dernier mot et oublie que je suis la sœur de ta mère. Je la pris dans mes bras, nos paupières se fermèrent. Je pensai déjà à mercredi... Dimanche matin, je pris congé. ma tante étant obligé de rendre visite à Andrew. La maison de repos étant située à 2 heures de route, il lui fallut partir le matin. Nous convînmes de nous voir le soir vers 20 heures. A l’heure précise, je rentrai chez Chantal dont j’avais aperçu la voiture. Elle fut occupée dans la cuisine; elle avait mis un long sweat-shirt pour tout vêtement. Encore une fois, un ...