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Le fol anniversaire d'Antonia (5)
Datte: 02/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe
... reste ? — J’adore quand tu prends mon sexe dans ta bouche, c’est à la fois doux et intense. Et puis, tu viens de montrer une nouvelle fois ta gourmandise, ce n’est pas forcément le cas des autres. Elle éclate de rire et rougit et me remerciant. Elle m’embrasse à nouveau. Longuement. Je ne résiste pas à l’envie d’ouvrir à nouveau son décolleté. — Mmmh, ces seins… Ces seins magnifiques… — Ils n’ont plus la tenue de l’époque et regardent plutôt vers le bas désormais. — Arrête ! Je ne veux pas entendre ça. Tu sais combien de femmes rêveraient d’avoir ta poitrine ? Je ne dois pas être le seul à avoir regretté que tu n’en montres pas plus aujourd’hui. Tu es tellement belle. — Tu vas me faire pleurer, tu es adorable Nous nous embrassons à nouveau. Je passe la main sous sa robe et guide ma main sur son entrejambe. Je la doigte doucement. Les jambes serrées, elle ondule, gémit doucement. — Laisse-moi plus de place. odpoeu Samuela écarte un peu les jambes et jouit une nouvelle fois. Je me lève et m’apprête à remettre ça. Elle m’arrête. — Pas ici. Allons dans la chambre... Elle se lève, je la suis. Nous passons séparément au milieu des convives. Viviane fait semblant de m’ignorer. La chambre. Déshabillage mutuel puis Samuela entame une longue fellation alors que je suis allongé dans le lit. Cette fois, elle semble ...
... décidée à prendre son temps. Elle vient sur moi, jouit, avant que je ne vienne sur elle pour son second orgasme : — Tu es un amant exceptionnel. Je suis heureuse de t’avoir connu. Je dois rougir et je perds mes moyens durant quelques secondes. Elle m’embrasse avec beaucoup de passion. Je l’attire à moi : assis en Lotus, notre ébat s’est soudainement chargé d’émotions. Le dernier. Nos langues n’en finissent plus de rouler l’une dans l’autre. Mon sexe est profondément planté en elle et seuls les ressorts de la literie animent la pénétration : — J’aimerais que ça dure des heures..., souffle-t-elle avant un puissant orgasme. Reculant le buste, elle me fait un clin d’œil et se soulève. Elle se tourne, à quatre pattes, l’offrande. Je m’agenouille derrière ses fesses rondes et la pénètre doucement. Le mouvement s’accélère et s’amplifie rapidement. J’explose en elle, heureux et comblé. Nous restons ensuite dans le lit durant une dizaine de minutes. Elle est couchée dans mes bras et nous nous embrassons, nous câlinons. Nous nous rhabillons ensuite et Samuela me donne son string en souvenir. Je le porte à mon visage : humide, il sent fortement son odeur. Sandra rit en me voyant faire. Dernier baiser, je sors en premier. Dans l’escalier, je croise Viviane et un cousin de Samuela qui montent. Viviane m’ignore encore une fois.