1. Laurent et Hélène


    Datte: 02/01/2018, Catégories: f, h, fh, couple, fépilée, amour, cérébral, ffontaine, Masturbation facial, Oral 69, fist, pénétratio, fsodo, uro,

    ... plus en plus profondément. Quand, pendant quelques instants, Laurent retire sa main, la béance semble s’agiter, semble habitée d’une vie propre. Et lorsqu’il se ré-enfonce, les quatre doigts s’engouffrent jusqu’à la garde. C’est le pouce qui bloque la progression. Ce pouce que Laurent applique contre le clitoris, qu’il écrase et frotte dans un mouvement rapide, comme un essuie-glace miniature. Il alterne les mouvements du pouce et des tapotements des quatre doigts sur la surface de la matrice. Après quelques secondes de ce traitement, il ressort tous ses doigts et les remet en place, cette fois en serrant le pouce contre sa paume. Plus rien n’empêche la progression de sa main. Le vagin d’Hélène, trempé, accueille la main de Laurent. Au niveau de la paume, il doit forcer, mais l’excitation est telle, que cela passe quand même. Laurent referme alors ses doigts et c’est jusqu’au poignet qu’il s’enfonce dans l’intimité de sa femelle. Hélène qui aime les sensations fortes est servie ! Elle crie, non pas de douleur mais de plaisir. Elle se sent éthérée, elle n’est plus un être humain, plus une femme, mais seulement un vagin, une poche de plaisir, elle ressent chaque centimètre carré de cet organe, qui diffuse en elle, par les frottements du poing de Laurent, des cascades de jouissance. Laurent tourne son poing, Hélène hurle. Il la regarde dans les yeux, pour lui exprimer la tendresse amoureuse, antagoniste de ses gestes brutaux. Même dans l’excès, il reste maître de ses actes, et ...
    ... n’oublie jamais que c’est pour le bonheur d’Hélène, pour son plaisir et le sien qu’ils explorent des voies parfois extrêmes. Hélène, elle, ne voit plus rien ; un vagin ne voit rien ! Elle ressent. Laurent essaie de retirer son poing fermé. Cela force le passage, c’est bon, mais le mieux est l’ennemi du bien. Pour éviter toute dégradation, il ouvre les doigts et les ressort, couverts de sécrétions, de mouille, de plaisir… C’est maintenant dans la bouche d’Hélène qu’il enfonce ses doigts. Les capacités d’élargissement ne sont pas identiques, et il se contente de mettre ses doigts un par un. Elle les lèche pour récupérer son jus. Les mouille à nouveau de salive, exprimant son envie de continuer… Et Laurent continue… Il lui remet le poing dans le ventre. Laurent appuie sur la partie antérieure du vagin, le fameux point G, que d’aucuns continuent à nier. Eux savent qu’il existe puisqu’ alors Hélène explose. Elle jouit en expulsant, comme elle peut des flots de mouille… Le poing agit un peu comme un bouchon, mais la pression est telle que le liquide fuit sur les côtés. Laurent se précipite pour mettre son visage sous la douche. Il essaie de boire le maximum de cette potion magique… Magique, parce qu’il ignorait, avant de connaître Hélène, l’existence de l’éjaculation féminine. Magique aussi parce que ce liquide représente, la jouissance de sa femme, son laisser-aller complet au plaisir de l’orgasme. Le liquide coule, Laurent n’arrivent pas à se placer comme il le souhaiterait. Alors ...
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